No comment...

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Collage, acrylique, gouache, aquarelle et marqueur noir

dans agenda.

 

Article du Télépro n°3025 ( Au coeur des agences de notation)

Photo vue sur CenterBlog (Recueillement et grégorien)

 

à ciao, ciao !

 

 

Et si on prend la photo dans son ensemble en oubliant l'inversion imposée aux deux premières images :

Vu au travers du double vitrage avec focalisation sur une goutte.

à ciao, ciao ! 

Je rends des hommages à Alex Powers avec une régularité de métronome déréglé certe, mais quand même.

Et puis dimanche, alors que je barbouillais dans mon agenda une pâle copie d'une de ses peintures, ça s'est imposés à moi !...

Je vous laisse regarder :

 

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aquarelle, fusain et pastel gras noir

 

Deux hommages en un seul article... je deviens vraiment, mais vraiment très fainéant par moment !

A moins que ce soit une économie de moyens à laquelle la crise économique nous habitue journellement qui s'exprime à mon insu ?

Allez savoir !

Liberté !

L'un la recherche au travers de sa peinture. L'autre la clamait dans ses poèmes à une époque où il valait mieux ne pas en parler.

Deux démarches pour un même objectif, il est donc normal de les associer.

 

...

Sur toutes les pages lues

Sur toutes les pages blanches

Pierre sang papier ou cendre

j'écris ton nom

...

Si vous ne connaissez pas, faites donc la démarche, pour une fois, internet ne sera pas qu'une source d'idioties !

Cela date de 1942.

C'est encore hélas trop actuel.

...

Et par le pouvoir d'un mot

Je recommence ma vie

Je suis né pour te connaître

Pour te nommer

Liberté

                                                Paul Eluard

Ben voilà ! Aujourd'hui j'avais rien de spécial à publier sur ce blog et en remettant de l'ordre dans mes photos...

Une grosse envie de faire un article dans le style de Petitalan... quoique lui ne baratine pas autour de ses clichés !

Photo datant d'août dernier, parc de l'Hôtel de ville de Tournai.

Allez, zou ! Bonne semaine à tous !

à ciao, ciao ! 

Je voulais lui faire ce clin d'oeil... voilà qui est fait.

Je voulais pour vous, développer, commenter, expliquer... mais je n'en ferais rien !

Je reste persuadé que celui à qui ces deux montages sont destinés, se reconnaîtra aisément !

 

 

Allez, zou !  Bien à toi !... 

à ciao, ciao ! 

Tant que j'étais plongé dans l'acrylique, j'ai été pris d'une grosse envie de réaliser un paysage que j'ai toujours compté faire à l'aquarelle sans jamais oser franchir le pas.

Pourquoi ?

Honnêtement, sais pas !

Bon, alors toile tendue sur panneau, et quelques peintures acryliques de base, c-a-d :

blanc, noir, bleu, jaune, orange, brun moyen et brun foncé

et puis après, de l'aquarelle car j'aime bien mélanger les médiums lorsque la possibilité s'offre (ce sont tous les deux des médiums solubles dans l'eau même si l'aquarelle est appliquée sur l'acrylique sèche.)

 

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Les volets blanc ( 24,0 x 36,0 cm)

Acrylique et aquarelle sur toile/panneau

 

L'acrylique, ça me relaxe un max !

D'accord, j'ai placé ça dans la rubrique " les hasards de l'eau " alors que le hasard est fortement maîtrisé, voire inexistant dans ce type de technique !

Bof !... tant pis ! Vais pas encore créer une autre rubrique !

Faudra quand même un jour que je la fasse à l'aquarelle, histoire de me tester... et puis, j'suis pas obligé de vous montrer si c'est raté !

Non mais des fois !  Qui c'est qu'est maître dans ce blog ?

Allez, encore une vingtaine de jour et ce sera le printemps, les fleurs, les p'tit zoziaux, le soleil, les filles en mini-jupes... qu'est-ce que j'raconte là, moi ?

à ciao, ciao ! 

Mais tout d'abord, et selon la formule consacrée : " Rendons à César les intérêts de retard et à Cyprien ce qui lui appartient ! " car la photo dont je me suis inspiré n'est pas de moi mais d'un certain :

"(c) COPYRIGHT HUNTER - MEMBER OF PHOTOCHART.COM "

j'ai essayé de retrouver le nom du photographe sur le site précité mais rien d'autre que ce pseudo (?) et apparemment c'est la seule photo postée par lui dans cet espace et elle date de 2005.

C'est probablement aussi vers cette époque que je l'avais chargée sur mon ordi.

Bon... une toile tendue sur panneau ( 40,0 x 31,0 cm) que je peins en gris ardoise pour ensuite, une fois bien sèche, y tracer les lignes principales au crayon blanc.

puis je commence tout doucement en appliquant les tons de base :

ne vous fiez pas aux couleurs, elles ne sont pas corrigées et l'appareil photo force un peu sur les bleus...

C'est une base qu'il me faudra (beaucoup, beaucoup) corriger pour arriver plus ou moins aux résultats espérés mais l'acrylique n'est pas l'aquarelle, c'est beaucoup plus facile :

 

Acrylique et aquarelle sur toile/panneau

 

C'est l'attitude du personnage et surtout la vision de ce visage sortant du noir qui m'a attiré dans la photo.

Mon prof disait toujours qu'il fallait éviter de placer des mains devant un visage et c'est bien pour cette raison que je l'ai souvent fait.  J'aime bien contredire les profs !

J'ai, en outre, beaucoup modifié le portrait en agrandissant les yeux et en réduisant la largeur du nez et de la bouche car je ne voulais pas reproduire à l'identique.

Vous vous souvenez certainement de la chanson : " la peinture à l'huile c'est plus difficile mais c'est bien plus beau que la peinture à l'eau ! "

Alors, pour ceux qui ne s'y sont jamais essayé, huile ou acrylique c'est du pareil au même pour ce qui est du travail. C'est juste le temps de séchage qui diffère mais alors question difficultés, en regard de l'aquarelle... c'est du nougat !

On ne va quand même pas refaire la chanson... alors tant pis !

à ciao, ciao ! 

C'est un bout de route, et quelle route ! Chaotique.  Piègeuse.  Dégradée le plus souvent, avec au bout, tout au bout : un parking de dissuasion complètement saturé qui vous oblige à vous garer plus avant.

Le long de la route.

Et puis, au bas d'une courte descente, Campomoro.  La plage de Campomoro.

Sable fin, soleil et quelques vacanciers épars. Le rêve après cette journée de transhumance qui nous avait mené de Porto.

 

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aquarelle et marqueur noir

Bien à l'abri à l'ombre des canisses qui séparent la plage des petites dunes bordant la route, nous regardions les vacanciers (non représentés par respect des personnes...) s'ébattrent dans une eau qui semblait délicieuse.

C'est là qu'on regrette d'avoir laissé nos maillots de bains dans les valises à l'hôtel.

Quelques maisons, un resto-bistro-terrasse que je crois unique, une ou deux heures de bonheur dans ce monde de brutes... les doigts de pieds en éventail.

C'était à Campomoro, Corse, en septembre 2011.

Sur ce, à ciao, ciao ! 

Beaucoup m'en avait parlé, vanté la beauté, trop peut-être.

Après Porto et ses alentours, la désillusion était de taille car, autant vous le dire tout de suite : Propriano ne m'a pas emballé. 

Bien sûr, pour moi ce n'était qu'une ville étape, la porte ouverte vers d'autres endroits beaucoup plus inspirants que sont Sartène et Bonifacio.

C'était aussi une ville dortoir où il est facile de se restaurer le soir, vu le nombre de restaurants qui bordent le front de mer au niveau du port de plaisance.

Un crobart donc, un seul et encore, réalisé en vue des essais avec fond dilué d'acrylique blanc pour rendre les feuilles imperméables.

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aquarelle et marqueur noir

En reluquant mes photos dans l'espoir d'y trouver sujets pour cette station, j'ai revu une belle tour, celle de Campomoro.

Ce sera pour le prochain crobart, en attendant,

à ciao, ciao ! 

... il faut aimer ce qu'on a !

Je ne me souviens plus trop qui avait lancé cette maxime pleine de sagesse, ça va me revenir mais en attendant je voulais le dire, que dis-je, l'affirmer à cet ami virtuel qui se pavane régulièrement dans les îles, qu'elles soient tropicales ou méditerranéennes.

Moi, dans mon Nord résidentiel, mon paysage habituel est composé de fermes, le plus souvent anciennes, le plus souvent aussi en cours de restauration ce qui pour l'habitant est un bienfait mais pour l'aquarelliste... une catastrophe.

Donc, je photographie à tout va avant de les voir disparaître.

Beaucoup n'y regardent que la décrépitude, moi j'y vois l'usure de la vie et parfois, sous la lumière du nord, une beauté qui me touche.

Voilà ! C'est dit !

Aujourd'hui donc, une ferme bien restaurée où d'habitude je ne m'arrête pas mais ce jour-là, la lumière donnant sur l'entrée m'a interpellée :

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Aquarelle, marqueur noir et pastel gras noir

Ah oui, j'me souviens maintenant !  La Bourgogne... Un château... Un guide pédant et prétentieux, une décoration grise et triste ainsi que la citation, peinte parmi tant d'autres par le tout premier propriétaire de ces lieux chargés d'histoire :

le Comte Roger de Rabutin.

Je savais bien que je l'avais lu quelque part, cette maxime, ailleurs que dans les livres ! 

Allez, je vais faire un petit cdeau à mon ami allergique aux fermes, celle ci-dessus mais au traits puis en négatif photo :

 

Qu'il se rassure, ça ne me demande qu'un ou deux clics dans le logiciel ad hoc mais je sais que ça lui fait tellement plaisir que je n'hésite pas à effectuer ce petit travail supplémentaire ! 

Bon, la prochaine fois et pour la dernière fois sans doute (paroles d'ivrogne...), je retourne aussi dans les îles ou plutôt dans l'île de beauté.

Je clôturerai ainsi mon carnet de voyage.

En attendant,

à ciao, ciao !