-
Tout au bout de la route...
C'est un bout de route, et quelle route ! Chaotique. Piègeuse. Dégradée le plus souvent, avec au bout, tout au bout : un parking de dissuasion complètement saturé qui vous oblige à vous garer plus avant.
Le long de la route.
Et puis, au bas d'une courte descente, Campomoro. La plage de Campomoro.
Sable fin, soleil et quelques vacanciers épars. Le rêve après cette journée de transhumance qui nous avait mené de Porto.
clic sur image = taille réelle
aquarelle et marqueur noir
Bien à l'abri à l'ombre des canisses qui séparent la plage des petites dunes bordant la route, nous regardions les vacanciers (non représentés par respect des personnes...) s'ébattrent dans une eau qui semblait délicieuse.
C'est là qu'on regrette d'avoir laissé nos maillots de bains dans les valises à l'hôtel.
Quelques maisons, un resto-bistro-terrasse que je crois unique, une ou deux heures de bonheur dans ce monde de brutes... les doigts de pieds en éventail.
C'était à Campomoro, Corse, en septembre 2011.
Sur ce, à ciao, ciao !
-
Commentaires
Je ne gomme rien du tout, sois sans crainte, simplement quand je peins des personnages, c'est que le sujet c'est eux et non le paysage et inversément proportionnel comme dirait l'autre.
D'ailleurs j'ai réalisé deux ou trois crobarts sur la Corse où ils apparaissaient
Quant aux fils électriques ou autres, je ne connais pas le même problème que le photographe, je peux les " oublier "... saurf encore une fois s'ils font partie du sujet que je veux aborder.
T'aurais aimé voir des tout nus ?... Y'en avait pas !
Allez, zou ! Bon restant de dimanche et bonne semaine à toi !
Ajouter un commentaire
Pourquoi avoir voulu gommer la vie ?
Les humains, les fils télégraphiques, les bagnoles et tant d'autres choses + ou - esthétiques font partie de notre environnement. Je connais le problème avec la photo.
Mais que chacun y fait comment qu'y veut.
Bine à toi et bon dimanche.