Agenda 2011, le retour ! 

Il me faudra peut-être deux ou trois ans pour le remplir... peut-être même ne sera-t-il jamais terminé.

Qui le sait ?  Mais pour pouvoir respirer un peu entre deux crobarts sur la ferme Pétillon, j'ai réalisé vite fait une ancienne porte vue à Sartène lors de mes vacances en Corse.

Aquarelle, marqueur noir et pastel gras noir.

Mais pourquoi diable ne pas l'avoir réalisée dans le carnet de voyage avec les autres crobarts sur la Corse ?... me direz-vous !

J'en sais rien !  L'agenda était certainement plus près de ma main que le carnet.

La paresse me pousse parfois à faire des choses idiotes...

Quoique...

Même lorsque le courage m'envahit !...

Enfin, c'est une autre histoire.

Allez, zou ! 

à ciao, ciao ! 

Je continue mon petit tour de piste, ou plutôt de cour,  pour vous montrer le coin que mon petit fils préfère car il mène aux prairies et dans celles-ci... il y a Polly !... un poney Haflinger qui accourt dès qu'il nous voit (il faut dire que la carotte ou le croûton de pain sec y est pour beaucoup !)

 

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Aquarelle et marqueur noir

 

La porte à droite donne sur l'écurie où Polly se réfugie par mauvais temps.

Allez, reste un coin (forcément) avec le porche d'entrée vers cette cour.

à ciao, ciao !  

Suite de cette mini série sur la ferme Pétillon à Lamain.

Dans l'article précédent, je vous montrais le coin Nord-Ouest de cette cour en carré, aujourd'hui, le coin Nord-Est :

 

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Aquarelle, marqueur noir et pastel gras noir

 

Lors d'un hiver où neige et vent étaient présents, le toit s'est effondré sur la quasi totalité de la longueur du bâtiment.

Tout a été reconstruit.  Certaines fenêtres et portes rebouchées par le propriétaire précédent ont été repercées et la façade rejointoyée.

Je vais m'appliquer à continuer les vues de cette cour, mais en attendant...

à ciao, ciao ! 

Généralement, je ne peins que les façades des fermes de la région, à cela une raison toute simple ; je me vois mal aller sonner aux portes pour demander ; " puis-je prendre des photos de la cour de votre ferme ?"

Ma discrétion légendaire m'empêche cette familiarité qui serait peut-être bien vue... ou pas... on n'est jamais certain de rien.

Il est pourtant une des fermes à laquelle je passe sans appréhension le porche d'entrée et pour cause, c'est la ferme d'amis très proches.

La ferme Pétillon, du nom du tout premier propriétaire, restaurée, transformée aussi mais en gardant tous les éléments d'origine, accueille gîtes rureaux et salle de réception.==> www.gite-ferme-petillon.be

Je vais donc essayer de faire une série de représentations de cette ferme en commençant par la cour fermée en carré.

Coin Ouest Nord-ouest avec vue sur la salle " La Vénerie" et la grange

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Aquarelle, marqueur noir et pastel gras noir

Allez, zou... à suivre !

à ciao, ciao ! 

Vendredi dernier, c-à-d l'an passé, n'y tenant plus, j'ai repris mon cahier ligné d'écolier.  J'ai balancé une photo sur l'écran et puis j'ai appliqué de la couleur n'importe comment sur la feuille qui était devant moi... en tenant compte néanmoins pour ce qui est des formes générales et des teintes, de ce qui se trouvait à l'écran.

Ensuite, l'après-midi, j'y ai placé mes traits de marqueur, accentué certains tons et mis ( oh sacrilège !) un peu de blanc aux endroits que je n'avais pas réservés.

Oh, dans les proportions rien n'est très juste du fait que je n'avais rien dessiné au départ mais c'est reconnaissable, je pense, pour qui connait l'endroit.

Voici donc le résultat :

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Aquarelle, marqueur noir et pastel gras noir

Enfilade de deux fermes ( la première étant restaurée ) dans la rue principale du village.

Ca change un peu du style adopté pour la réalisation des autres fermes de la région mais c'était un essai qui ne m'a pas trop déçu et pourtant, avant de la retravailler, c'était parfaitement immonde !!! (j'aurais dû la scanner à ce moment-là mais j'ai bien cru devoir arracher la page du cahier !)

Allez, je vous souhaite, à toutes et à tous, une excellente année 2012 et beaucoup d'inspiration dans ce que vous entreprendrez, que ce soit sur le plan artistique ou autre !

à ciao, ciao ! 

 

Bonne Année 2012

à toutes et à tous !

Et à ces deux-là également, qui squattent pour mon plus grand plaisir, le cerisier du Japon de mon jardin !

Alors, plein de poésie, de photos, de peinture, de réflexions philosophiques ou burlesques, en fonction de ce qui vous trotte habituellement en tête en vous souhaitant de pouvoir les concrétiser !

Et puis pour ceux qui souffrent dans leurs chairs ou dans leur coeur, beaucoup d'affection et d'espoir !!!

à ciao, ciao ! 

 

 

Il y a deux jours je vous montrais une réalisation dans mon agenda et je pestais de ne pas l'avoir réalisée dans le carnet de voyage où elle aurait eu meilleure place.

C'est fait !  Bien sûr pas à l'identique et pour cause, je n'aime pas trop me répéter mais plutôt un détail de la vue du 26 décembre.

NB. si vous regardez sur un ordinateur portable à écran mat, n'hésitez pas à pousser le contraste en inclinant l'écran.

Ceci est valable pour toutes mes aquarelles :

 

Aquarelle, pastel gras (noir) et marqueur noir.

 

Donc, dans le carnet, la page laissée blanche est maintenant occupée et clôt ainsi la série sur la Corse.

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Allez, je crois que c'est tout pour cette année !

Je vous souhaite de passer un bon réveillon de la Saint-Sylvestre et de bien débuter l'an 2012 !...

Ensuite, on fera ce qu'on pourra pour bien la continuer !

à ciao, ciao !  

 

Agenda, papier Kraft... v'là donc que ça m'reprend... j'peux rien faire comme les autres !

Et puis, cette ruelle de Sartène, j'aurais pu la peindre face à l'autre, dans le carnet de voyage !  Pourquoi diable dans cet agenda ?

                       

Carnet de voyage ou agenda ?

Bon, ben tant pis ! Me restera plus qu'à recommencer dans le carnet, histoire d'en finir avec la Corse.

J'espère que vous avez passé un joyeux Noël et que vous préparez bien le réveillon de la Saint Sylvestre...

En attendant,

à ciao, ciao !

L'autre soir, cris métalliques et sonores devant chez moi, très reconnaissables lorsqu'on en a l'habitude... " y'a un faisan sur l'entrée de garage ", me dis-je.

Que nenni. Ni sur l'entrée de garage, ni dans le jardin où ces bestioles élevées pour le plaisir (?) des chasseurs viennent souvent réclamer leur pitance.

Je rentre et... encore le cri !

Il est bien là pourtant mais pas où je regardais :

 

dans le tilleul à plus de 50 mètres, au bout du jardin du voisin d'en face.

Je zoom au maximum mais il me faudra encore éclaircir la photo pour m'assurer que je n'ai pas la berlue.

J'ai bien plus l'habitude de voir de ramiers ou même un épervier à cet endroit mais après tout, c'est un oiseau comme un autre... pourquoi n'en aurait-il pas le droit ?

Allez, je vous laisse !

à ciao, ciao !  

Pour ceux qui dessinent ou peignent, je ne dois pas expliquer le processus... on a envie de faire quelque chose mais quoi ??? l'inspiration se montre quelquefois très garce avec nous, pauvres petits barbouilleurs.

Ceux qui ont une technique et qui s'y tiennent, contournent aisément cet écueil en appliquant les principes acquis mais moi... moi qui n'ai aucune technique de prédilection... parfois je tourne en rond !

Cet après-midi, n'y tenant plus, j'empoigne mon agenda, mon porte-mines 6B, un pastel gras noir et la boîte d'aquarelle de mon épouse et je fais n'importe quoi... dans le cas présent, un visage.

 

 

Je ne sais pas qui c'est vu qu'il n'y a pas de modèle mais ça m'a fait du bien de griffonner et de manier mes pinceaux pendant les cinq minutes nécessaires à cette réalisation.

Et puis je me souviens des photos mises en attente et parmi celles-ci, un portrait du sculpteur Olivier Strebelle, personnage tout en rides mais éminemment sympayhique :

 

alors vite, sur la page suivante, quelques traits de mine de plomb... tant pis pour la couleur...

 

Je lui ai fait prendre quelques kilos mais tant pis, voilà quelques instants où le temps s'est arrêté comme par magie.

Dans l'agenda, ça donne donc :

 

Bon, j'ai refermé l'agenda les laissant face à face, ils n'auront qu'à trouver les sujets de conversation qui leur fera passer le temps !

En attendant...

à ciao, ciao !