-
Je sais, pour les écoliers c'est pas très sympa de crier cela alors qu'elles se terminent très bientôt.
Je voulais juste vous parler d'une ambiance de vacances interprétée à l'aquarelle d'après une peinture à l'huile de Douglas Gray.
Si vous aimez les ambiances lumineuses, les contre-jour etc. visitez donc son site, c'est fabuleux et c'est ICI.
Bon, une aquarelle donc sur un papier déjà testé à mon retour du Lubéron et qui m'avait fortement déçu. Je vous montre le bloc.
300g/m² d'accord mais en lumière rasante, le papier donne :
Et cette structure fortement lignée ne me convenait vraiment pas.
J'avais pourtant réalisé cette aquarelle pour les propriétaires de la chambre d'hôtes où nous logions :
Un petit coin de leur jardin.
Mais aujourd'hui, j'ai peinturluré sur l'envers des feuilles et j'apprécie bien plus la structure presque lisse qu'elles offrent.
Donc, d'après Douglas et en recadrant un peu sa peinture pour ne pas faire à l'identique :
taille : +/- 18,0 x 27,0 cm
Sur un dessin minimaliste, j'ai essayé une peinture qui tient plus de l'impressionnisme que du figuratif pur et dur.
Du soleil, des terrasses accueillantes, des ballades dans des lieux inconnus, les ingrédients nécessaires pour se sentir pleinement en vacances.
Bon, ben... on peut rêver, non ?
Je vais la laisser décanter quelques jours et probable qu'elle ne me plaira plus du tout, comme c'est souvent le cas.
Faudra maintenant m'essayer à quelque chose de plus personnel, mais quand l'inspiration fait défaut, s'appuyer sur des artistes de cette trempe constitue un bon exercice.
Je vous laisse !
à ciao, ciao !
8 commentaires -
... pour avoir oser reproduire (enfin, presque) une de ses aquarelles sur mon sous-mains.
Hé oui, j'arrive pas à travailler sur un autre support pour l'instant mais ça va me passer... comme le reste... tout le reste.
Mille excuses donc, mais en même temps si je le " copie " c'est qu'il m'inspire.
C'est donc lui qui devrait me remercier...
non ?
Aller, je blague là. Mon crobard recadré fait exactement 7,5 x 11 cm alors que son aquarelle doit être bien plus grande et puis c'est réalisé sur une feuille quadrillée de +/- 80 à 90 g/m² alors que lui travaille sur du Arches 450, voire du 600 g/m².
Autant vous dire que l'approche, la technique et les matériaux employés sont différents.
Lui travaille avec du fluide à masquer pour garder ses blancs et moi je remets des petites touches de gouache blanche.
Je vous montre :
non recadré
et puis, recadré, avec passe-partout :
et puis surtout, j'en ai réellement teminé avec cette feuille du sous-mains car j'ai découpé les trois crobards.
Voici avant cet acte criminel, mon sous-mains ressemblait à ça :
Maintenant, c'est à nouveau une bête feuille quadrillée.
Pour finir, et quand même lui dire merci, si vous voulez voir le pas à pas qui m'a inspiré, vous pourrez cliquer ICI
je vous laisse !
à ciao, ciao !
2 commentaires -
... le beau temps, c'est bien connu.
Là, le soleil se repointe mais il doit encore tomber des gouttes, because le parapluie de la dame :
18,0 x 15,0 cm
C'est vrai que j'aurais pu l'appeler " après le pont..." mais bon.
Ce doit être une suite logique (pour mon esprit malsain ) au crobard précédent. Ce n'est pas que la pluie me manque, loin de là, c'est... au fait, j'en sais rien... c'est comme ça.
Ne cherchez pas non plus le nom de l'endroit, je ne me suis inspiré d'aucun modèle.
Un dernier petit coup d'oeil sur mon sous-mains et puis on passe à autre chose si vous voulez bien :
Un bout de quai, un pont, un marché sous la pluie... comme un souvenir de vacances sauf que pour moi, il n'y avait pas de quai où j'étais.
Quoique... à Îles-sur-la-Sorgue... les ponts, les quais, sans les bâteaux de pêche alors !
Allez, haut les coeurs...
à ciao, ciao !
votre commentaire -
... disons plutôt que c'est devenu " un bout de quai après la pluie " car au départ c'était juste un test sur mes marqueurs noir, histoire de faire le tri entre ceux que je pouvais garder et ceux qui, ayant tout donné, prendraient la direction poubelle.
Le reste, me d'mandez pas pourquoi, c'est comme ça. Un trait entraîne l'autre et forme un image qui se matérialise dans mon unique neurone.
J'y peux donc rien, c'est la faute au neurone solitaire qui, certains jours, doit s'ennuyer.
10,5 x 17,0 cm
désolé pour les marqueurs fatigués mais grâce à eux, j'ai mon article du jour !
Allez, zou !
à ciao, ciao !
4 commentaires -
... ou en tout cas sur une surface guère plus importante :
45,0 x 30,0 mm
Inutile donc de vouloir l'agrandir, c'est la bonne taille !
De plus, j'avais dessiné un rectangle presque parfait sans même m'en apercevoir.
On a beau prétendre ne pas vouloir tenir compte des règles qui régissent la peinture et le dessin, le mal est fait. L'inconscient restitue toujours ce qu'il connait le mieux.
Donc, petite fantaisie pour crayons aquarellables, salive et doigts de la main gauche sur une feuille A4 de récup pliée en deux.
Je vous confirme par la même occasion qu'il est difficile de peindre avec ses doigts sur une surface si exiguë.
Je vous montre l'ensemble :
je l'avais eue en main pour la mettre à la poubelle, cette feuille... qu'est-ce qui m'a pris ?
Je suis un mystère à deux pattes, ce doit être mon karma.
Dire que j'avais un espace énorme sur mon sous-mains encore vierge (ou presque) juste en dessous !
Pauvre de moi. Parfois je me fais réellement peur.
Allez, sur ce...
à ciao, ciao !
votre commentaire -
Je n'ai jamais fait beaucoup de pastel, quelques essais tout au plus, le plus souvent décevants et pratiquement toujours sur des papiers inadaptés.
Donc, pour ne pas faillir à cette tradition, je me suis défoulé sur un bout de carton venant d'un cubi de vin (+/- 19,0 x 16,0 cm.)
Ben oui, chacun son vice !
Pourquoi revenir au pastel alors ?
Ben, c'est la faute à la revue " Pratique des Arts " ou plutôt à Barbara Benedetti Newton et à son pas à pas qui m'a donné envie d'aller voir son site.
Si vous désirez vous y rendre, c'est ICI
Enfin, vous faites comme bon vous semble.
Moi, j'y suis allé et je me suis un peu... enfin disons assez bien inspiré d'un de ses tableaux, de ses tons et de sa méthode pour réaliser la chose ci-dessous :
Une nuit sur les marais d'Harchies.
Les marais d'Harchies (Belgique), ce sont des étendues d'eau entourées de verdure, un refuge pour les oiseaux aquatiques mais avec, à un endroit bien précis, un véritable paysage d'apocalypse.
Des arbres morts, partout, dans et hors de l'eau.
Et des cormorans ! Par dizaines, voire par centaines, qui nidifient à cet endroit. Le meilleur des défoliants écologiques.
Mais revenons à ce pastel.
Question matériel pour travailler ce médium, je ne possède pas grand chose et, comme je ne compte pas en faire très souvent, je n'investis pas dans ces bâtonnets colorés.
Voyez plutôt :
Quelques bâtons achetés neufs, du bleu, du vert et du rouge, et puis quelques autres qui avaient déjà beaucoup servi, récupérés à l'atelier que je fréquentais il y a bien longtemps déjà.
Faire du pastel ça défoule, d'accord, mais qu'est-ce que c'est salissant !
Une fois terminé, j'ai trouvé un cadre dont la taille me convenait et qui contenait une aquarelle déjà ancienne, voilà la chose installée sur un mur étroit dans le couloir d'entrée.
L'avantage de produire ses tableaux, c'est de pouvoir changer régulièrement sa déco... c'est déjà ça !
cadre 30,0 x 24,0 cm
Allez, zou !
à ciao, ciao !
6 commentaires -
Toute chose à une fin, bonne ou mauvaise et là j'entends aussi bien la chose que sa fin.
J'aurais aimé terminer sur un crobard plus réussi mais c'est la vie... y'a des jours avec, y'a des jours sans !
Faut l'accepter.
Je termine donc ce carnet par le crobard qui aurait dû le commencer vu que c'est le tout premier lieu visité : L'Isle-sur-la-Sorgue.
Isle-sur-la-Sorgue, c'est plein d'eau partout. Canalisée le plus souvent... quoique... et ce jour-là, il en venait même du ciel.
Et pas qu'un peu, même !
Autant dire que sortir l'appareil photo de son sac protecteur tenait de l'exploit.
Ce n'est donc pas ( avec Avignon ) ce qui me restera comme le meilleur souvenir de mon séjour, et c'est probablement pour cette raison que je ne l'avais pas encore placé.
Je ne voudrais quand même pas terminer de cette manière, alors...
alors, je vous place une photo prise le jour de l'arrivée en soirée :
là ça vaut peut-être la peine de cliquer !
La pluie qui nous avait poursuivie tout le long des mille kilomètres du trajet venait de cesser mais les nuages enveloppaient encore Roussillon.
Merci à ceux qui ont eu la patience de me suivre...
à ciao ciao !
votre commentaire -
Allez, trois gribouillis immondes réalisés sur mon sous-mains il y a déjà quelques temps puis découpés et maintenant collés dans le carnet.
Trois vues de Lacoste sur une bonne centaine de mètres, l'ancienne boulangerie d'abord et puis plus haut, avant et après le passage sous le beffroi.
Je dois encore en avoir un qui traîne à mettre sur l'autre page.
Je vais chercher dans mon brol, je dois vous retrouver ça !
En attendant,
à ciao, ciao !
votre commentaire -
Un carnet de voyage, ça sert aussi à rassembler certaines documentations glanées sur place et ainsi éviter qu'elles ne finissent oubliées dans un tiroir quelconque.
Face à la page présentée dans l'article précédent, j'ai donc collé le plan de Roussillon reçu à l'Office du Tourisme, comme ça lorsque je montrerai ce carnet à des amis ( qui ne le resteront peut-être plus par la suite, qui sait ? ) je ne devrais plus tout retourner chez moi.
en cliquant, vous saurez peut-être lire !
Même remarque que ci-dessus !
Voilà qui devrait terminer les crobards consacrés à ce séjour en Lubéron.
Je dois encore avoir quelques gribouillis immondes commis sur mon sous-mains que je pourrais coller sur la ou les pages suivantes...
On verra !
En attendant,
à ciao, ciao !
votre commentaire -
J'en reviens à mes crobards mais plus pour très longtemps car je commence à saturer et le but primaire étant de me faire plaisir....
... vous comprenez, je suppose.
Alors, petites pubs gratuites pour trois restos de ce village et comme je ne connais pas les autres, je n'en parlerais pas.
vous remarquerez qu'incidemment, je les ai entourées de trois crobards.
Bien sûr, les entrées du castrum ne se trouvent pas en dessous de cet intitulé mais sur la gauche. Les escaliers, c'est l'accès au beffroi !!!
Après tout, j'ai mis des flèches, yakalessuivre !
Allez, je vous laisse,
à ciao, ciao !
votre commentaire