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Sans titre, sans explication, juste montrer les délires réalisés hier en écoutant de la musique péruvienne.
sous-mains
du grand " n'importe quoi ! "
détail
9,0 x 16,0 cm
Aquarelle, marqueur noir et crayons cire
à ciao, ciao !
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Que cache donc ce regard inquiet ?
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V
Aquarelle, mine 6B, pierre noire, pastel sec, crayons cire, gouache, marqueur noir.
21,0 x 24,5 cm
Ah oui, d'accord ! Vu sa taille d'oeuf d'autruche, ça pourrait faire des dégats.
Peut aussi tomber à côté, non ?
Allez, courage !
Question aux artistes : " comment peut-on employer autant de médiums pour un simple crobard griffonné sur un sous-mains ? "
Angoisse.
à ciao, ciao !
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Fastoche ? Vous avez dit fastoche ? Ah bon... prenez un crayon, un bout de papier et prouvez-le moi.
Avec les ombres et tout et tout, bien entendu.
+/- 6, 0 x 7,5 cm
Tombera, tombera pas ? Zatiiisdeqwestion.
Dire que la poule fait ça deux fois par jour, juste avec son derrière.
Allez, je vous laisse philosopher là-dessus... à moins que vous ne me disiez d'aller me le faire cuire, mon oeuf !
Voilà ! C'est fait !
à ciao, ciao !
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image cliquable
J'aime bien lorsqu'il me regarde ainsi, j'ai l'impression d'être un Dieu, car c'est bien moi qu'il fixe de ses yeux bleus.
L'APN étant posé sur la table, ses mirettes ne font pas face à l'objectif mais s'orientent légèrement vers le haut... c'est-à-dire vers bibi.
image cliquable
aquarelle 19,0 x 29,0 cm
Mais moi, dans tout cela ?
Ben je suis en train de faire le clown pour attirer son attention et ainsi la détourner de ce foutu appareil qu'il ne quittait pas des yeux.
Vous remarquerez que j'ai délaissé mon sous-mains pour un papier traditionnel et aussi pour la plus grande satisfaction de mon épouse.
Je suis pour la paix dans les ménages !
Allez, zou...
à ciao, ciao !
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Une si longue absence donc mais remarquez, je ne pense pas que ça ait perturbé grand monde.
Aujourd'hui, petites études réalisées sur mon sous-mains d'après une photo d'un de mes petits-fils.
Voila l'ensemble du sous-mains :
pour ce qui est du paysage à droite, c'est une vulgaire copie d'une démo de Chien Chung-Wei parue dans la revue l'art de l'Aquarelle n°18.
Pas trop réussie d'après moi !
10,0 x 10,0 cm
Je n'invoquerais pas l'excuse du support car après tout, personne ne m'oblige à crobarder là-dessus.
Non, j'ai simplement raté ma lumière comme le prouve la mise en niveaux de gris :
Je réalisais cela le soir, les mains endolories par de lourds travaux tout en regardant mes mails...
Mais après tout : on s'en fout !
Allez, zou !
à ciao, ciao ! .
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Ben oui, n'importe quoi, comme dirait mon petit-fils.
La preuve ?
J'ai représenté le Campanile de San Giorgio Maggiore derrière la Salute alors que, vu l'angle, il est ilmpossible de le voir !
M'en fou ! C'est mon droit.
Et puis le soir, lorsque je m'assieds pour regarder mon courrier électronique, je passe mon temps comme je veux !
sur mon sous-mains, bien sûr !
Voilà donc le sacrilège scanné :
7,0 x 17,5 cm
Et puis c'est crobardé sur des inscriptions qui n'y ont pas leur place.
Du grand n'importe quoi, je vous avais prévenu.
Allez, au boulot ! Les crobards attendront.
à ciao, ciao !
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D'habitude on représente plus souvent sa voisine, Santa Marie della salute, alors rompons avec cette tradition, cette église ne sera que suggérée.
dim : 11,8 x 7,2 cm
Bon, javais sur mon bureau un passe-partout pour cadre 13x18 avec une fenêtre qui avait les dimensions ci-dessus.
J'ai donc regardé dans une aqua ratée ce qui pouvait être sauvé.
Pas le temps actuellement de faire autre chose, alors...
à ciao, ciao !
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Dimanche, c'est jour de repos... enfin presque.
J'ai donc mis ce temps libre à profit pour faire des essais informatiques sur l'aquarelle de l'article précédent.
Comme suggéré par Brig64, j'ai foncé les façades de droite, ça ne changeait pas grand chose.
J'ai ensuite augmenté la lumière en supprimant des ombres sur la rue et estompé un peu le fond...
Calvi-2
L'effet reste le même et de plus, les ombres sur marquises à gauche de la rue deviennent complètement ridicules.
Les laisser blanches enverrait le regard directement vers le fond...
Il faut donc se poser les bonnes question et la première est :
- où est le point focal
Cette partie plus claire et plus détaillée me semble bonne pour attirer le regard.
Seconde question :
- qu'est-ce qui m'intéressait au départ dans la photo...
la rue vue de haut et l'alignement hétéroclite des marquises des magasins.
Conclusion : tout le reste est du remplissage et ne peut que nuire à la lecture de l'aquarelle.
J'en suis donc arrivé - par informatique - à cette représentation :
Calvi-10
Entre cette vue et la première, pas moins de sept autres essais informatiques, cadrage, ombres, blancs, tout y passe.
Cette représentation correspont à cette zone précise de l'aquarelle primitive :
C'est là que les choses se compliquent.
Je dois pouvoir récupérer du blanc à l'avant-plan en enlevant le papier kraft mais il va abîmer le papier (même en le mouillant)
Je dois aussi récupérer au maximun des blancs au niveau de la rue et des marquises avant de colorer ces dernières... il faut voir si le papier va supporter tout ça.
Un peu plus tard :
Je n'ai pas su récupérer tous les blancs voulus qui sont restés légèrement colorés.
J'ai aussi accentué l'ombre en forme de triangle sur pointe au niveau du point focal qui renvoi le regard vers la rue.
Les deux objectifs semblent atteints.
Et si l'on place en niveaux de gris :
Qui a dit que les repentirs ne sont pas permis à l'aquarelle ?
clic sur image = + grand
Certains préfèreront probablement la version originale, à chacun ses goûts bien sûr.
Voilà donc comment, l'air de rien, on passe tout son dimanche après-midi !
Allez, bonne semaine à tous,
à ciao, ciao !
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Au débouché de la rue Georges Clémenceau, vous arrivez face aux escaliers qui mènent à la citadelle.
image Google streetview
Cette prise de vue date de septembre 2012 soit juste un an après ma visite de cette ville.
Personnellement, je n'avais pas photographié les escaliers mais plutôt la rue Georges Clémenceau vue du haut de ceux-ci.
D'où cette idée d'aquarelle :
taille : +/- 17,5 x 28,5 cm
ça m'a pris trois jours de travail du pinceau, coincé entre le jardinage, le fendage du bois et sa mise en place, les commissions pour remplir le frigo, la visite du parc à conteneurs pour y déposer les reliefs du jardinage... je disposais un lavis par-ci, un détail par-là, une retouche vite faite avant de redéposer le pinceau et de filer vers le jardin.
Cette aquarelle est donc restée trois jours sur mon bureau avant que je ne me décide à la considérer comme terminée.
C'est long !
Très long !
Enfin, comparé aux deux années qu'il a fallu pour me décider à la faire, on relativiserait facilement.
On aime ou on n'aime pas, c'est un choix mais moi je n'arrive pas à me décider.
Je crois savoir pourquoi... il manque un point focal et de la lumière !
Hé oui, y'a d'la couleur, on dirait que... mais non !
Le test du niveau de gris le prouve :
Le point focal provoqué par la couleur est absent, la lumière disparaît et l'attrait aussi.
Comparez avec l'aquarelle de l'article précédent où les deux points repris ci-dessus sont présents même en niveaux de gris :
Pour moi, y'a pas photo ! L'oeil est bien guidé.
La tyrannie de la couleur... j'avais déjà fait un article là-dessus.
Bon, ben... tant pis, c'est comme ça !
Bonne rentrée aux membres du corps enseignant !
à ciao, ciao !
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