Cette fois il ne faudra pas se décrocher la tête pour regarder, c'est dans le bon sens :

La traditionnelle double page avec toutefois l'inversion par informatique de la bourde commise sur la première page :

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A gauche, la vue du dessus des escaliers et à droite, celle du dessous. C'est le point d'accès et de retour pour la visite.

Après le sentier des ocres, ce sera le village de Roussillon pour les quelques articles suivants.

Allez, zou !

à ciao, ciao !

Réaliser une action en pensant déjà à la suivante n'est pas une bonne idée, même si la première action semble d'une facilité enfantine.

Regardez plutôt :

 

j'ai collé la souche dans le bon sens et le dessin à l'envers.

Voilà le sentier des ocres sans dessus-dessous et comme la colle rempli parfaitement son rôle, impossible de le décoller pour lui remettre le ciel en haut !

Tant pis !  J'ai continué la page et puis... et puis vous verrez bien !

Roussillon, le sentier des ocres, site très agréable où se promener lorsqu'il fait beau... quand il pleut c'est en général fermé.

J'y ai vu des p'tites Anglaises en train de crobarder sur site... moi, je me suis contenté de faire des photos... comme d'hab !

 

Allez, petit miracle de l'informatique.  Je vous remets le dessin à l'endroit même si dans le carnet il restera cul par dessus tête !

 

C'est effectivement plus lisible !... et moins risible surtout !

Allez zou, je vous laisse...

à ciao, ciao !

 

 

à Bonnieux, une âme charitable à suppléé à cette lacune déjà constatée plusieurs fois en affublant le panneau d'un 15K bizaroïde.

15... Kilogrammes ? Kilojoules ? Kilowatts ?  Kilohertz ? Kilofrancs... non là ça n'existe plus chez nous... kiloeuros ?

Pardon ?... kilomètres ! ça semble logique mais moi je me souviens d'un prof de physique qui lui aurait mis un zéro pointé.

15K, c'est lourd pour un marin... même s'il lui manque un " D "

Bon, j'avais déjà parlé de Lourmarin dans l'article " la parenthèse inattendue " j'ai donc complété la page unique que je consacrerais à ce charmant village pas perché pour quinze sous.

trois des quatre curiosités du village

 

La quatrième étant celle qu'on voit en tout premier lieu : le château.

 

la double page traditionnelle :

 

Bye bye Lourmarin ! Il faut maintenant se retaper les 15K dans l'autre sens si l'on ne veut pas se retrouver aux antipodes du lieu de résidence, c'est-à-dire Roussillon.

Allez, zou !

à ciao, ciao !

 

Bonne question.  Je vous parle de tout ce qui, de près ou de loin, ressemble à une arcade.

A Bonnieux, j'en ai trouvé pour tous les goûts.

En frondaison d'abord :

 

et puis en pierres... quoique...

les deux préférences sont satisfaites dans ce cas-ci car les frondaisons masquent de plus en plus la pierre.

 

Voilà donc encore une page de réalisée sur Bonnieux.

Ce sera la dernière pour ce charmant village où, là aussi, il y aurait encore beaucoup à montrer.

la double page (cliquable) comme à l'accoutumée :

 

 

Bye bye Bonnieux !

à ciao, ciao !

J'aimais bien cette expression " Passage 25 " même si, dans le cas présent, il est totalement hors contexte.

25, c'est le numéro de l'immeuble où se situe ce passage :

De plus, il semble être totalement privé.

C'est en cherchant un chemin qui nous conduirait à l'église du haut, dans ce village de Bonnieux, que nous nous sommes aventurés vers ces escaliers qui ne mènent qu'à des habitations privées.

Ce n'était donc pas le bon mais j'en ai fait une photo qui me sert de référence aujourd'hui.

Je vous situe l'endroit... si toutefois vous connaissez Bonnieux :

Encore une page pour terminer avec ce village et pour faire pendant à celle-ci :

Allez, zou !

à ciao, ciao !

Ceux qui publient sur ce support connaissent le principe mais pour les autres, voici un petit rappel.

Over-blog permet la publication d'articles en différé, il suffit d'en programmer la date et l'heure.

C'est souvent le cas des miens. 

Ainsi, celui-ci a été posté il y a trois jours et les deux ou trois qui le précédaient, début de la dernière semaine de juin.

Entre les deux, et actuellement encore, des jours bien trop chargés pour faire quoi que ce soit de sérieux.

Dans ce cas, lorsque je suis assis à mon bureau pendant quelques minutes, c'est le sous-mains qui trinque.

Aujourd'hui donc, je vous montre quelques crobards sur Bonnieux réalisés à la va-vite - ce qui n'est pas plus mal à mon sens dans l'optique d'un carnet de voyage- puis ensuite collé dans le dit carnet.

 

Le campanile de la mairie vu depuis le point de vue panoramique de la ville :

 

La rue Voltaire que l'on devine à gauche sur ce crobard...

... qui joint la rue de la République à la place Carnot et qui possède la particularité de présenter un passage sous les maisons.

Elle n'est pas la seule en France, c'est entendu, mais j'y avais trouvé des lumières qui m'intéressaient :

à gauche, en descendant de la rue de la république et à droite en remontant de la place Carnot.

J'avais pensé les représenter plus dignement mais... désolé, pas le temps.

Collé dans le carnet, cela donne :

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Je me sauve !

à ciao, ciao !

Vous m'auriez dit : " magnanerie " avant mon périple à Bonnieux, j'aurais cru que vous me parlier en tchèque, croate ou même ouzbèque !... maintenant, je suis un peu plus malin :

cliquez sur l'image pour lire

 

Donc, nous parlons bien de sériciculture, ça c'est un terme que ma culture sérielle connaissait. J'avais juste pas consulté mon copain Robert.

J'avais donc mon sujet pour complèter ma page :

 

Ainsi, la double page se présente de cette manière :

 

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Allez, encore une double page sur Bonnieux et je change de village !

à ciao, ciao !

Autre façon de regarder les remparts, ceux de la rue Jean-Baptiste Aurard qui aboutissent aux remparts de l'article précédent :

 

 

Je crois avoir trouvé le sujet qui complètera cette page.  Je m'en vais de ce pas rechercher dans mes photos.

à ciao, ciao !

Ah, on a le temps de les admirer, ces remparts, à chaque fois que l'on s'arrête pour remprendre haleine dans cette grimpette qu'est l'ancien chemin de Lourmarin.

 

 

et puis, juste après, une explosion de couleur... un arbre de judée en pleine floraison.

Comme personnellement je n'ai pas trop de motivation pour peindre des fleurs, je vous montre la photo :

 

Bon, j'ai repris mon souffle, je continue.

Allez, zou... bon dimanche !

à ciao, ciao !

 

J'ai remarqué que dans le coin, les panneaux indicateurs avaient la facheuse tendance à ne pas indiquer le kilométrage... remarquez dans ce pays vallonné, est-ce vraiment nécessaire ?

Vu de Lacoste, Bonnieux c'est là :

4 à 5 km à vol d'oiseaux... beaucoup plus par la route.

De près, c'est plutôt ça :

... un village de carte postale. Un rêve de désordonné. Un cauchemar pour architecte moderne... et également pour moi qui n'aime pas trop crobardé l'architecture quelle qu'elle soit.

Soyez donc indulgents :

 

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Remarquez le croissant de lune sur la flèche du campanile.

ça grimpe encore et toujours, d'autant plus sec que souvent on laisse son automobile dans le bas, à l'entrée du village.

Et quand on est en haut, on peut voir...

Lacoste !

Juste retour des choses.

Bon, je regarde mes photos et puis je continue.

à ciao, ciao !