Oublions Cabrel et sa chanson, ce qui me préoccupe ce sont plutôt les essais que j'effectue actuellement.

Toujours la recherche, simplicité et efficacité pour la conception de mes (futurs) carnets de voyage, et c'est pas gagné !

Je vous montre ces essais :

sur mon sous-mains, bien entendu.  Pourquoi gâché des carnets pour des essais ?

Les carreaux font 5 mm de côté, ça vous donne une idée de la taille.

J'ai même essayé le crayonné légèrement coloré comme celui qui se trouve en haut à gauche :

le voici agrandi pour bien distinguer la mine de crayon

Rien n'y fait... je ne suis pas satisfait.

Je préfère, et de loin cet essai inspiré fortement d'une aquarelle de John Lovett déjà cité dans l'article précédent :

ça c'est simple et efficace !  Pas de détails inutiles, l'impression ressentie, traduite sur papier... j'aime !

J'espère que sur place, l'inspiration me viendra plus facilement qu'assis à mon bureau.

En attendant, mon sous-mains se remplit :

Heureusement, il lui reste encore pas mal de feuilles !

Allez, zou !

à ciao, ciao !

La plupart de gens s'imaginent que la retouche photo consiste essentiellement à éclaircir, recadrer ou redimentionner des photos.

Pourtant, pas mal de petits logiciels (gratuits) en font souvent beaucoup plus et personnellement je m'en sers régulièrement.

Sur mon sous-mains, j'avais crobardé une aquarelle modifiée de John Lovett, aquarelliste et peintre australien.

aquarelle, crayons cire et marqueurs noir

+/- 15,0 x 13,0 cm

Comme ça, juste pour le fun.

Pour retrouver aussi mes sensations après le tout numérique de ces derniers jours.

J'avais cependant transformer son marchant de fruits et légumes en magasin d'art pour touristes peu regardants.

Et puis j'ai joué de la retouche photo... c'est cette dernière que je voulais vous montrer :

Aquarelle retravaillée sous logiciel.

Magasin vu de nuit, bien entendu.

Qu'importe l'endroit. J'en ai vu partout de ces boutiques, proposant leurs impressions sur toiles, reproductions réalisées à la chaîne en Chine et arrivant par containers entiers.

L'Art de masse au secours de l'inculture.

Allez, assez râlé ! Moi j'avais tout bonnement copié en interprétant ce que j'avais sous les yeux pour ensuite transformer complètement le sujet.

J'ai passé du bon temps ! 

Merci John.

à ciao, ciao ! 

Il faut bien avouer que le petit vieux de la photo qui m'a servi de modèle, n'en a rien à battre de ces considérations très actuelles.

Bon, ce sont les mêmes ingrédients que dans les articles précédents, à savoir :

- un ordinateur,

- un programme de dessin assez sommaire mais qui permet le travail par calques,

- une tablette graphique de qualité... heu... très modeste

- beaucoup de temps à passer devant l'écran.

copie d'écran en fin de réalisation.

A gauche, le modèle en photo et à droite, le dessin réalisé. L'ensemble est  une vue sur le logiciel utilisé.

 

Voilà donc :

Asie_2

(image cliquable )

 

Je me sauve !

à ciao, ciao ! 

... mais il me manque quand même le papier, les pinceaux et toutes les sensations que je ne retrouve pas avec ce stylet parcourant ma palette graphique.

Trève de blablas, je vous montre la chose réalisée cette fois d'après un modèle tiré d'un .PPS reçu dernièrement :

(image cliquable )

Asie_1

 

Lorsqu'on a une journée à passer loin de la maison, qu'il fait trop mauvais pour se promener et que l'ordinateur est sous la main !...

Allez, à la prochaine ?

à ciao, ciao !

Mon épouse me l'avait déjà dit mais vous savez comment ça va... on pense à une blague !

Dans l'article précédent j'affirmais ne pas vouloir m'essayer à un portrait essentiellement numérique mais...

... mais en plus d'être têtu, j'aime beaucoup me contredire.

Je suis d'ailleurs la seule personne à pouvoir me contredire sans que cela me fâche.

Alors, ce n'est pas du Cali Rezo, je vous ai déjà expliqué le pourquoi mais aussi, et surtout nous n'avons pas la même sensibilité.

J'ai donc fait un portrait (sans modèle), en voici quelques phases sous forme de copies d'écrans :

 

 

Un calque blanc ( 17,0 x 12,0 cm après conversion) avec un calque noir au-dessus. Je commence, au hasard à gommer quelques parties saillantes de ce qui devrait être un visage.

 

J'ai déjà bien avancé mais c'est plus un monstre qu'un portrait :

 

 

Finalement, avec un peu de fond de teint, ce ne sera ni un monstre ni un homme de Cro-Magnon !

 

Le travail est maintenant terminé aux trois-quart, vous apercevez les quelques calques que je n'ai pas encore fusionnés

 

 

Après avoir tout fusionné, je termine mon dessin en lui superposant encore deux calques :

 

Il ne me reste plus qu'à redimensionner en 800 x 600 dpi et aussi à signer :

(image cliquable )

 

Comment vais-je appeler ce portrait numérique mais pas virtuel ?

La rousse ?... ça fait un peu dictionnaire, non ?

Rouquine à la boucle ?... c'est un peu trivial !

L'imaginaire numérique à la boucle qui l'est tout autant.

Je garde ! C'est délicieusement long, tout comme le travail accompli pour la faire apparaître du néant.

 

Allez, zou ! Bonne semaine.

à ciao, ciao ! 

 

En lisant un article consacré à CALI REZO dans la revue " Pratique des Arts, n° 108 " je me suis dit... pourquoi pas essayer.

Mais voilà, je ne suis pas Cali Rezo. Je ne possède pas le même matériel qu'elle.  Je suis donc parti d'une aquarelle déjà présentée dans l'article : Certains vont détester cette vision.

Je vous présente en quelques copies d'écrans certaines phases du travail.

 

Redressement de l'image :

 

Ensuite, après recadrage, dessin de la partie gauche : palais et campanile ainsi que le ciel qu'il me faut compléter.

 

J'avais tordu le clocheton de la Salute pour voir l'effet... c'est rapé ! Il me faudra donc l'effacer et le recommencer.

Voilà qui me semble mieux !

 

Je sais, je passe d'une vue globale à une vue de détail mais pour pouvoir travailler je dois souvent agrandir puis revenir à la vue générale pour vérifier le résultat d'ensemble.

 

Encore quelques détails à finir à droite...

 

...puis à gauche...

 

... et voici l'ensemble terminé... enfin, terminé ? Avec le numérique on peut toujours aller plus loin.

( image cliquable)

Conclusions :

- Je ne suis vraiment pas Cali Rezo qui elle, ne part pas d'une photo mais réalise complètement son dessin sur tablette graphique !  Je ne me risquerais donc pas à réaliser des portraits comme elle le fait avec tant de talent !  Un paysage, surtout lorsque la précision est toute relative, ça passe encore.

- Ce petit exercice m'a demandé un temps fou !  Sur les copies d'écrans, vous ne voyez jamais que deux calques et pourtant il y en a eu des dizaines que je fusionnais à chaque fois pour ne pas polluer un calque inadéquat lorsque les modifications me convenaient.

- Ceux qui ont détesté la première version du Grand Canal n'apprécieront certainement pas plus celle-ci, mais encore une fois : je m'en...

- Je n'ai certes pas perdu mon temps mais ça reste du numérique et moi... je suis attaché à la feuille, aux pinceaux et aux pigments.

Allez, zou ! Bon week-end à tous !

à ciao, ciao ! 

 

Mardi, début de soirée.

Antoine  : Papinou !... j'ai envie de faire un tableau comme ceux dans ton bureau.

Moi : ah ? Heu... enfin... tu ne préfères pas jouer au foot dans le couloir ?

 

Une feuille vierge, ses aquarelles et ses crayons bien devant lui, voilà mon petit-fils transformé en artiste et moi... en modèle !

On ne peut pas gagner à tous les coups.

Moi  : mais tu as déjà fait mon portrait, il est affiché dans le bureau !

(voir article : l'angoisse de la page blanche)

Lui  : Meuh non hein !... c'était un fantôme pas content que je t'ai dit ! Ici, c'est un vrai portrait, avec des couleurs... bouge pas !

 

Voilà comment on se retrouve modèle, assis sur une chaise de cuisine et face à un artiste en herbe.

Même moi je n'ai jamais travaillé comme ça mais toujours d'après photo.

Dix minutes plus tard, mon portrait était tiré :

format A4

Antoine : j'ai pas fait des dents pointues comme à un vampire, hein !  T'as vu, hein ?

 

Ca, pour avoir vu, j'avais vu ! Immobile j'étais mais pas aveugle.

Je trouve que les fantômes, même pas contents, ont parfois bien de la chance !

Allez, zou !  à ciao, ciao !

.

Vu sur Facebook, cette photo reprise par une "amie" sur le site " Recyclart " qui lui même reproduit la photo figurant sur un autre site... ça devient de plus en plus compliqué toutes ces chaînes :

en cliquant sur la photo vous devriez vous retrouver sur le site d'origine...

du moins je l'espère.

Cinq portes de récupération (c'est le but avoué du site !) assemblées pour former un abri qui se veut romantique dans un jardin qui ne l'est peut-être pas...

Personnellement, je n'ai pas de vieilles portes.  De plus ça me rappelle des pigeonniers bricolés qui " décorent " un certain bout de jardin que je vois au cours de mes ballades quotidiennes, mais j'aimais la lumière, alors du coup...

Du coup, en regardant l'écran :

Un porte-mines, un marqueur noir, des aquarelles, un pinceau à reserve d'eau, des crayons cire et un sous-mains... et au diable le raton laveur !

Voici donc :

clic sur image = un peu plus grand

 

Comme je crois recycler en gribouillant sur tout ce qui passe à ma portée, je trouve que ça cadrerait bien dans un article.

D'accord, avec moi ce n'est peut-être pas de l'Art mais bon...

On fait ce qu'on peut !

Allez, zou ! à ciao, ciao !  

... il ne faut pas le faire !

Ca tombe bien, pour moi ce n'est pas un métier mais un passe-temps.

Quelque chose qui me prend lorsque je n'ai rien d'autre à faire et pas forcément lorsque l'inspiration est à son zénith.

Alors, ce que je fais peut être très moche comme cette fois.

Mais... je m'en fiche !

 

 

 

si vous voulez vraiment voir en plus grand... clic sur image

 

Un peu d'aquarelle, de marqueur et des crayons cire, ce n'est pas de l'Art mais ça défoule. No stress !

Voilà.  C'est dit.  C'est fait.

Non mais des fois ?...

Allez, zou !  à ciao, ciao !

... même si elle est ténue, même si elle paraît idiote, une idée... c'est toujours bon à prendre.

ça commence souvent par un gribouillage immonde :

des graffitis tenant plus du réflexe que de la conscience et puis... elle est là.

Dans ce fatras de traits qui se chevauchent...

Qu'il me faut vite concrétiser pour ne pas la perdre :

ce n'était pourtant qu'une chute de feuille traînant sur mon sous-mains.

C'est dimanche, il neige, il fait froid... et Eugénie risque bien de s'ennuyer.

Par ma faute !

Même pas honteux, na !

Allez, zou !  à ciao, ciao !