Ce n'est pas le nom d'un de mes délires picturaux, juste une impression...

en tout cas c'est la vision que j'ai eue en ouvrant une boîte de pâté ( pas pour chiens ni pour chats ! ) mais une conserve pour humains bipèdes.

Lors de la fermeture du bocal en usine, le paté facécieux autant que campagnard ( intitulé du contenu sur l'étiquette ) avait imprimé sa marque sur l'intérieur du couvercle.

Vite, une photo avant qu'il ne disparaisse dans l'eau de vaisselle !

Oeuvre éphémère, juste un clin d'oeil du hasard.

Merci à lui !

Allez, zou...

à ciao, ciao !

 

Joyeux Noël

et

Bonne Année 2014

 

à mes fidèles... et aux autres !

Je n'ai jamais fait beaucoup de pastel, quelques essais tout au plus, le plus souvent décevants et pratiquement toujours sur des papiers inadaptés.

Donc, pour ne pas faillir à cette tradition, je me suis défoulé sur un bout de carton venant d'un cubi de vin (+/- 19,0 x 16,0 cm.)

Ben oui, chacun son vice !

 

Pourquoi revenir au pastel alors ?

Ben, c'est la faute à la revue " Pratique des Arts " ou plutôt à Barbara Benedetti Newton et à son  pas à pas qui m'a donné envie d'aller voir son site.

Si vous désirez vous y rendre, c'est  ICI

Enfin, vous faites comme bon vous semble.

Moi, j'y suis allé et je me suis un peu... enfin disons assez bien inspiré d'un de ses tableaux, de ses tons et de sa méthode pour réaliser la chose ci-dessous :

Une nuit sur les marais d'Harchies.

 

Les marais d'Harchies (Belgique), ce sont des étendues d'eau entourées de verdure, un refuge pour les oiseaux aquatiques mais avec, à un endroit bien précis, un véritable paysage d'apocalypse.

Des arbres morts, partout, dans et hors de l'eau.

Et des cormorans ! Par dizaines, voire par centaines, qui nidifient à cet endroit.  Le meilleur des défoliants écologiques.

Mais revenons à ce pastel.

Question matériel pour travailler ce médium, je ne possède pas grand chose et, comme je ne compte pas en faire très souvent, je n'investis pas dans ces bâtonnets colorés.

Voyez plutôt :

 

 

Quelques bâtons achetés neufs, du bleu, du vert et du rouge, et puis quelques autres qui avaient déjà beaucoup servi, récupérés à l'atelier que je fréquentais il y a bien longtemps déjà.

Faire du pastel ça défoule, d'accord, mais qu'est-ce que c'est salissant !

Une fois terminé, j'ai trouvé un cadre dont la taille me convenait et qui contenait une aquarelle déjà ancienne, voilà la chose installée sur un mur étroit dans le couloir d'entrée.

L'avantage de produire ses tableaux, c'est de pouvoir changer régulièrement sa déco... c'est déjà ça !

 

  cadre 30,0 x 24,0 cm

Allez, zou ! 

à ciao, ciao !

 

 

 

Sentiment d'impuissance, commun aux écrivains, aux dessinateurs et aux constipés...

Certains pouvant cumuler, bien entendu !

En tous cas, un qui n'éprouve pas ce sentiment, c'est mon petit fils.

Je lui demande un dessin, il me tend une feuille trente secondes plus tard :  " tiens papinou ! C'est toi ! "

Oups ! Déconfiture... quoique, je ne puis nier qu'il y ait là une certaine ressemblance.

Devant ma mine décomposée, il continue en souriant : " Mais non hein ! C'est un fantôme qui est en colère !  "

Il a toutes les qualités, ce môme.

Du talent, de l'imagination et beaucoup de tact !

Tout le portrait de son grand-père quoi !

Allez, zou !

à ciao, ciao ! 

Hier, je me suis rendu à une exposition organisée par le Cercle Royal  Artistique de Mouscron, expo qui se tenait au château de Bourgogne à Estaimbourg.

 

 

Ce n'est pas la première expo que je vais voir dans ses salles mais hier, vu le nombre d'exposants, certaines salles habituellement fermées étaient ouvertes au public.

Au détour de l'une d'elles, surprise...

Non point les tableaux, je visitais bien une exposition, mais cette vieille porte, là, dans le coin !

Je m'approche et... autre surprise :

la porte d'un ancien coffre-fort.

En voici quelques détails :

 

 

 

toutes les photos sont prises avec mon GSM, d'où leur qualité plus que douteuse.

 

Parler d'une porte obsolète en évoquant une exposition de peinture et de sculpture, c'est un peu fort de café, me direz vous.

Bin oui ! C'est tout moi, ça !

 

Peut-être bien qu'un jour je vous parlerai d'une usine de coffres-forts en vous montrant les photos d'une exposition qui ne s'y tenait pas...

Qui sait ?

Allez, zou ! Bonne semaine !

à ciao, ciao !

En parcourant le blog de BBL, j'ai vu un truc assez marrant qu'il m'a fallu essayer... bien sûr !

Je me suis donc fait un avatar pour mon avatar... je sais, c'est compliqué mais moi je me comprends, c'est déjà ça !

 

 

 

Bon, ça va Eugénie !

D'accord, c'est un peu beaucoup japonais comme dessin.

Ok, c'est facile d'employer des éléments pré-dessinés.

Mais bon !... c'était juste pour m'amuser un chouïa... et puis, j'avais pô trop d'idée pour un faire un bel article, alors... ça tombait bien !

Allez, zou !  à ciao, ciao !

... et, entre les deux, le chemin le plus court est l'imagination.

Alors je reprends l'image de base :

Grâce à la tablette graphique et au travail par calques, je vous dessine les contours de ma vision :

Puis je supprime le calque de base :

le voici donc, le malheureux qui flotte dans l'espace !

Ah zut alors ! J'ai dessiné un trait sur le calque inférieur que j'ai supprimé... hé bè, tant pis !

Je suppose qu'il est très différent de celui que vous aviez imaginé mais quelle importance ? Le tout est que chacun ait titillé son imagination l'espace d'un instant !

Allez, je vous laisse ! Après-midi très récréative avec un de mes petits-fils, le blog attendra !

à ciao, ciao !

 

ps. réalisé mercredi matin et programmé pour le lendemain... l'espace temps... mais tout ça vous connaissez, bien sûr !

... c'est en tout cas ce que je pensais dans mon mauvais anglais en ce jour de Toussaint et comme l'idée ne m'enchantait guère j'ai d'abord crobardé ce qui devait être un cauchemar...

9,7 x 19,3 cm

pastel sec sur carton d'emballage

Et puis, bien m'en pris car le temps de réaliser cela et le ciel s'était dégagé.

J'ai donc fait du " moving in the wind ", car du wind... du vent si vous préférez, il n'en manquait pas !

En regardant ce crobard, je trouve que je me suis rajeuni de pas mal d'années, à une époque où mes cheveux tenaient autant à moi que moi à eux...

Bon ! je dois absolument me dire que ne sont pas les regrets qui les feront revenir en coup de vent !

à ciao, ciao !

Dimanche, petite mais bonne surprise, Philippe Perennou me communique l'adresse de son blog dans un com d'un article qui date... de plus de deux ans.

Je m'en vais relire la chose et la magie des lieux opère.

J'ai donc retrouvé une photo réalisée juste après être passé dans sa galerie en 2010.

D'accord, c'est une vue peu courante de cette ville et je me demande s'il reconnaîtra l'endroit :

Pour lui, ça ne devrait pas être trop difficile !

J'ai donc placé un lien dans la rubrique : " les sites que j'aime " car il est vrai que j'apprécie assez ses peintures pour avoir eu l'audace d'en copier une (pour mon usage personnel, il va sans dire !)

Il y représente sa Bretagne, mais pas que.  Il nous montre aussi Venise, ville hors du temps que j'adore et puis des ports !... et quels ports !!!

Des aquarelles, reprises sous la rubrique " marines" qui me laissent complètement et définitivement jaloux de son talent !

A l'époque, sa galerie était à l'entrée de la place comme en témoigne cette vue de Google Street View.

J'espère qu'elle s'y trouve toujours mais en cliquant sur l'image vous pourrez accéder à son blog avec une autre adresse à Quiberon.

 

 

 

Allez, zou ! J'arrête de rêver à Pont-Aven et je retourne à la grisaille du Nord !

à ciao, ciao !

Ce titre est un très bon résumé de l'instant.

Je suis donc là, devant ma feuille blanche posée sur la planche graphique à réfléchir sur un sujet mais rien ne vient, sauf...

à force de griffonner sur mon sous-mains, il s'est retrouvé sans feuille mais qu'à cela ne tienne... fidèle à mes T.O.C. je crobarde tant et plus sur chaque parcelle du carton qui supportait les dites feuilles pendant que mes idées se font attendre.

Mais si maintenant mes mains se désolidarisent de mon cerveau... 

en effet, à bien y regarder, cette frimousse venue de nul part me rappelle celle d'une infirmière de l'étage cardio. du CHR...

Mais où va donc se nicher l'inconscient ? 

Hein ?

Je vous l'demande !

Allez zou !

à ciao, ciao !