L'oisiveté est probablement mère de toutes les inspirations... en tout cas en ce qui me concerne.

Dimanche, profitant de cette petite fenêtre de calme dans la période de vacances et comme j'attendais le bon vouloir de mon ordinateur poussif, je gribouillais... comme d'hab.

Seulement, ce jour-là, c'était avec du pastel, médium que j'utilise très très... très rarement.

Le problème : que faire ?

C'est alors que j'ai foncé au salon pour décrocher du mur la seule oeuvre que j'ai achetée... un petit pastel de mon ami Théo De Mol.

Je vous laisse le soin de lire sa biographie dans cet article déjà ancien :

THEO DE MOL

C'est d'ailleurs lors de cette expo que je lui avais acheté ce petit pastel.

Depuis, Théo a abandonné ce médium pour les joies de la peinture à l'huile, en tout cas c'est ce qu'il m'avait dit lors de notre dernière rencontre.

Bref, je me suis outrageusement (et très mal) inspiré de son tableau, comme il se le dira certainement en lisant cet article.

Voyez plutôt :

taille du pastel : 23,0 x 11,5 cm

réalisé dans un espace découpé dans mon sous-mains et qui correspondait à l'article déjà publié : " Falaises... naturelles ou artificielles ? "

Comme il s'agissait de la dernière feuille du bloc, le carton gris de soutien qui transparaissant convenait parfaitement à l'emploi du pastel.

Vu de près cela donne :

et si vous la préféré encadrée :

clic sur les deux images... vous savez !

l'encadrement est virtuel, bien entendu.

Voilà, c'est tout pour l'instant car dès demain lundi (hier quand vous lirez l'article), je referme la fenêtre dessin pour m'occuper de mon petit-fils, passe-temps plus fatigant certes mais tout aussi agréable, si pas plus !

Allez, zou !  à ciao, ciao !

 

 

 

 

Qui ose prétendre qu'il fait toujours mauvais à la côte belge ?

 

Bon ben... j'y r'tourne aujourd'hui, j'espère qu'il fera beau !

Allez, zou !  à ciao, ciao ! 

Côté face, il y a l'immensité aqueuse de la nature devant laquelle certains papotent :

 

Côté pile, il y a l'immensité bétonnée par la connerie humaine devant laquelle on reste sans voix :

 

  Mais entre les deux, bien à l'abri dans leur bulle de bonheur, des enfants s'amusent quand même.

La Panne, juillet 2012.

Bon, c'est bien beau tout ça mais qui c'est qui va faire mon jardin ?... Hein ?... je vous l'demande ?

Ok ! J'y retourne...

à ciao, ciao !

 

L'autre jour, en regardant le jardin, je dis à mon appareil photo...  - d'accord, je sais que ça peut paraître con de parler à un appareil photo mais je parle bien à mon chat... alors ? - je lui dis donc : " nous les hommes, avons l'avantage sur toi, machine, de pouvoir effectuer ce travail intellectuel qu'est le fait de dessiner. Toi tu ne sais que restituer bêtement ce que tu vois..."

et vlan ! Aussi sec, il me fait ça, l'enflure ! 

et puis tout aussi vite, ceci :

sorties telles quelles de l'appareil sans intervention d'un logiciel informatique quelconque !

Dégouté, je suis ! Il y a de quoi avaler mes crayons et pinceaux par le travers.

Me d'mande bien pourquoi j'ai acheté un appareil qui se moque de moi de manière aussi évidente ?

Dégoûté et probablement cinglé !

M'en vais profiter du soleil, NA !

à ciao, ciao ! 

... pour la minuscule bouée que j'ai autour du ventre !

musée de la SNSM à Penmarc'h ( Finistère)

Servait anciennement au transbordement des marins entre le bateau en détresse et la barque des secours.

Sauve qui pneu !...

à ciao, ciao !

... par la beauté de cette chose gluante !

 

Pointe de la Torche, Finistère.

Sur la plage abandonnée,

Coquillages et crustacés,

Qui l'eut cru déplorent la perte de l'été,

Qui depuis s'en est allé...

 

Et dire qu'ici, il n'est même pas encore arrivé ! 

à ciao, ciao !

Que ce soit à Concarneau...

 

ou dans mon patelin !

 

Faut s'y faire, c'est la vie.

à ciao, ciao !

 

 

 

 

 

...

- Bonjour. Pourquoi viens-tu d'éteindre ton réverbère ?

- C'est la consigne, répondit l'allumeur.  Bonjour.

- Qu'est-ce que la consigne ?

- C'est d'éteindre mon réverbère.  Bonsoir.

Et il le ralluma.

- Mais pourquoi viens-tu de le rallumer ?

- C'est la consigne, répondit l'allumeur.

- Je ne comprends pas, dit le petit prince.

- Il n'y a rien à comprendre, dit l'allumeur. La consigne c'est la consigne.  Bonjour.

Et il éteignit son réverbère.

...

Le petit prince

Antoine de Saint-Exupéry

 

 

Gamin, je les regardais passer, les allumeurs de réverbères.

Jamais ils ne quittaient leurs vélos noir, les pilotant d'une main et tenant leur longue perche sur l'épaule de l'autre.

Je me suis toujours demandé ce qui entretenait cette flammèche qui sortait de la perche. 

A l'aide de cette dernière, d'un geste sûr, ils ouvraient le robinet situé sous l'espace vitré avant d'y introduire la perche et d'allumer le gaz.

La lumière jaillissait soudain. et innondait... le pied du réverbère.

Tout juste assez pour savoir qui vous égorgiez ou pour permettre aux chiens errants de ne pas les louper.

 Salut Antoine !  Mes amitiés au Petit Prince ! 

à ciao, ciao !

 

 

 

Ils sont tous passés près de lui sans même y jeter un regard, car ils n'avaient d'yeux, et d'objectifs, que pour les bateaux...

 

ou alors, pour les phoques...

pointe du Hourdel, baie de Somme

 

mais pas plus de phoques que de poil dans ma main... quoique, dans ma main....

 

 

chacun son trip, bien sûr !

Allez, zou !  à ciao, ciao !  

Oui !... aujourd'hui j'ai tagué une ferme !... virtuellement bien sûr car j'ai assez de respect pour le bien d'autrui pour ne pas aller acheter des bombes de couleurs et de cochonner la vie des autres.

En fait, j'ai très peu de temps libres actuellement et j'avais juste envie de vous envoyer ce petit clin d'oeil !

 

clic / image = + grand

aquarelle et photo mixées par informatique

 

Allez, zou ! à ciao, ciao !