Si j'étais une auto, je serais...

un peu poussive, un chouïa polluante mais j'espère sympathique.

Pas comme ces voitures modernes...

agressives, tout autant polluantes et qui foncent en klaxonnant : " pousse-toi d'là que j'passe, hé... " mieux vaut ne pas poursuivre.

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Trente secondes de délire pour chaque bagnole, et une minute de manip sur l'ordi avant de publier mais c'est mon sous-mains qui est content... il croyait que je l'avais oublié.

à ciao, ciao !

Hé oui, quoique pas si en jachère que ça, mon souvenir.
Je viens de retrouver une autre photo du ponton de Fécamp, prise par moi mais que ne n'avais pas encore classée, photo qui était pourtant gravée dans un recoin obscure de mon cerveau  :

et donc, en plaçant photo et crobard côte à côte, on constate :

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Ma mémoire visuelle me semble encore très bonne. Je devrais l'employer bien plus souvent au lieu de " recopier " bêtement une photo.

Je vous rassure quand même, si le ponton semble bien aller vers les maisons, il bifurque très vite pour leur être parallèle et marquer le chenal par lequel les bateaux sortent du port.

Bon, je vous laisse.

à ciao, ciao !

Vous cherchez dans vos souvenirs des endroits forcément fréquentés en oubliant les photos prises à l'époque. Vous faites ensuite confiance à votre mémoire visuelle, si elle n'est pas en jachère complète... et puis vous dessinez ce souvenir.
Lorsque vous aurez terminé, retrouvez la photo et comparez... c'est très surprenant, pas plus moche, pas mieux, disons... différent.

Donc, un souvenirs de Fécamp, septembre 2014 et du ponton de bois :

C'est effectivement très très différent de la réalité puisque le ponton n'aboutit pas aux maisons mais leur est parallèle.
En tout cas, ça m'a permis de crobarder quelque chose alors que j'étais en manque total d'inspiration.

Les quadrillés de la feuille, c'est mon sous-mains bien entendu :

lors des moments de non-inspiration (fréquents) c'est mon sous-mains qui déguste.

Bon, elle s'est planquée où, cette inspiration ?
Je cherche... je cherche !

à ciao, ciao !

Je fais ce que j'aime, ça ne veut pas dire que j'aime ce que je fais.

... c'est vrai, ça !  Y'en a jamais que pour les gondole(1) lorsqu'on évoque Venise et pourtant pas mal de "pigeons" se sont fait promener en sandolo en lieu et place de la fameuse " gondola ! " annoncée par le rameur en polo rayé.

Donc, petite fantaisie aquarellée sur le thème du Sandolo :

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Un peu plus courte que sa consœur tant adorée et ne possédant pas le fameux ' fero" sur la proue, elle ( ou il, c'est comme vous voudrez) offre pourtant exactement les mêmes services.
Bon, ben voilà une vérité rétablie dans son contexte... vous n'aurez pas perdu votre journée !

(1)  ne cherchez pas la faute, gondole (sans S) car pluriel italien de gondola !

à ciao, ciao !

Je fais ce que j'aime, ce qui ne veut pas dire que j'aime ce que je fais.

C'est pas très beau de tirer la langue !

Vous prenez un stylo bille, vous tournez, tournez, tournez l'engin sur le papier et si vous avez de la chance, quelque chose apparaît qui peut être accentué avec de l'aquarelle... c'est un exemple.

Là, c'est ce bonhomme aux allures d'Einstein qui m'a sauté aux yeux dans ce fatras de lignes qui s'entrecroisent sans ordre apparent.

Pur hasard ?
Ma main aurait-elle un cerveau indépendant et facétieux ?... les poulpes ont bien un cerveau au bout de chaque bras !

Bon je vous montre l'exemple :

Agrandissez en cliquant sur l'image et regardez au-dessus et à droite de ce malpoli... ça démarre comme ça.

Ensuite, autre crobard instinctif :

Ce sont d'abord quelques traits de marqueurs de couleurs sur des annotations sans importance, une espèce d'arcade apparaît, puis...

Puis ça s'étoffe, ça prend forme... on ajoute des lignes, des courbes, des semblant de fenêtres... et ça se précise.
C'est comme le jeu " Sim City " mais avec des marqueurs pour enfants sages. Tout ça sur mon sous-mains, il n'y a que là que ça fonctionne.
Dingue non ?

Bon, assez déconné !

à ciao, ciao !

Je fais ce que j'aime, ça ne veut pas dire que j'aime ce que je fais.

(cherchez pas, c'est de moi !)

Hola, ¿ còmo estàs ?
N'ayez crainte, je n'apprends pas l'espagnol et je ne vais pas vous imposer les mauvaises traductions fournies par Google... c'est juste pour introduire cette aquarelle faite au départ d'une photo de : Victor Manuel Chacòn-Fernandez.

Ouf ! Je l'ai dit. Pourquoi ces gens ne s'appellent-ils pas DUPONT, comme tout le monde ?

Cahier Canson  ± A4
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Petite ruelle typique de la vieille ville de Segovia en Espagne... du moins d'après les indications données sur Flickr.

Allez, une fois n'est pas coutume,

Adios ! 

Enfin, question de parler car il s'agirait plutôt d'un dernier crobard sur le thème de Gand.
Ce n'est certes pas les sujets qui me manqueraient mais la lassitude risque de me gagner... et vous itou.

Autre vue d'une partie infime du Pont Saint-Michel et d'une façade sur le Predikherenlei, vu ma maigre connaissance du Néerlandais, je suppose qu'il doit s'agir du quai des Prédicateurs.
C'est dans le prolongement du quai aux Herbes :

Bon, je vais essayer de me trouver un autre sujet... voir une autre occupation.

Allez, zou...

à ciao, ciao !

On ne peut pas visiter Gand sans passer devant le château des Comtes, Gravensteen pour les autochtones. Le visiter est encore mieux... on y voit quelques "jouets" pour bourreaux de l'époque !  Ils n'avaient peut-être pas la télé en ces temps reculés mais ne manquait pas d'imagination pour s'amuser... au dépend des autres.

Bref, ce n'est pas ce genre d'engins que je vais vous crobarder mais le fameux château vu du pont enjambant la Lieve qui le borde.

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Bon, je vous laisse à votre contemplation.

à ciao, ciao !

Sur le Quai aux Herbes, à Gand, il existe une petite façade perdue dans la démesure des bâtiments qui bordent ce quai. Petite façade donc, coincée entre deux géantes et pourtant... c'est elle qui a accroché mon regard.

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Sur ce crobard, la partie inférieure du bâtiment est tronquée par la digue du quai et le gigantisme des autres façades ne saute pas directement aux yeux, alors photo :

Allez je vous laisse...

à ciao, ciao !

Oui, il est extrêmement de me voir réaliser deux fois le même crobard. Ou alors il faut que le temps passe et que l'envie de le reproduire différemment me prenne, mais là...

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J'ai donc repris la photo de cette façade déjà crobardée dans mon carnet Canson et présenté dans l'article du 21 août dernier tout en le modifiant vu le manque de place dans ce petit carnet.

Bon, ben...

à ciao, ciao !