Quand je parle des planches, j'évoque celles qui m'ont servi à faire cette petite série avec Eugénie.

Les voici d'abord séparées avec leurs dimensions approximatives : 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite cette vue d'ensemble : 

 

Tout a commencé par la figure en haut à droite, un essai d'atmosphère sur un paysage de ville tout à fait imaginaire.

Ensuite j'ai poursuivi avec des lieux plus ou moins connus en les réalisant du haut vers le bas et de la droite vers la gauche... la place Saint Marc étant donc la dernière réalisation effectuée.

L'intégration d'Eugénie au sein de ces petites aquarelles réalisées dans un style d'illustration pure s'est faite ensuite grâce au logiciel de traitement d'images déjà évoqué sur ce blog.

Voilà, je vous laisse ! 

Bon week-end à tou(te)s !

à ciao, ciao !

 

 

 

 

Et de quel homme !!!  MOI !

Pour être précis, ce serait plutôt l'évolution de mes travers... travers qui consistent, je vous l'ai déjà dit : à dessiner n'importe où !

Les deux derniers articles...

Tout est relatif disait Einstein

Il faut relativiser les propos d'Einstein

...confirmaient la chose.

Petit rappel :

 

1e étape

Un film vu la veille : " Soupçon d'innocence " et surtout les dessins de Nicolas Nemiri qui jalonnes ce film et qui me trottent toujours en tête et me voilà dessinant deux personnages dans le haut du sous-mains. 

 

2e étape

Un jour se passe et je remet la chose un peu plus bas et à gauche... pas de problème, je découperai pour les coller dans l'agenda !  

 

3e et dernière étape

Retour de promenade, une photo, une lumière... je bouge ma palette graphique et j'entame... cette entrée de ferme (restaurée) dont on ne voit que les dépendances et une vieille bicyclette... bleue.

 

Il serait pourtant plus que temps que j'arrête cette manie car... mais regardez plutôt ! 

avec le sous-mains, c'est un cahier ligné format A4, un carnet de croquis et un agenda ( tous inadaptés pour l'aquarelle) qui sont entamés... ça commence à faire beaucoup et puis surtout, surtout... ça n'arrange en rien le bordel qui se trouve sur mon bureau !

J'avais dit : les caprices d'un homme... j'aurais du écrire : " les délires d'un sans ordre ! " 

Allez, zou ! à ciao, ciao !  

Ben non, je ne tombe pas dans le révisionnisme, négationnisme et autres contestations (j'aurais aimé vous le faire en "isme", mais j'ai pas osé ! )

Je vous parlais de prendre de la hauteur mais hélas...

 

image google map

... comment vous montrer mon sous-mains de si haut ?

Descendons donc :

Mais non ! c'est pas assez !  ça, c'est le toit.

Encore un effort...

Hé ! j'vous ai pas demandé de monter le bordel qui règne sur mon bureau ! Je vous parlais du sous-mains :

 

Voilà qui est mieux mais encore un peu flou, non ? Impossible de lire correctement les phylactères !

Approchons encore... encore...

Voilà qui est bien mieux !

Dernier détail de ce sous-mains :

 

Conclusion : à prendre trop de hauteur devant des évènements et autres détails de la vie courante, on loupe souvent l'essentiel !!! 

 

Pardon ? Que dites-vous ?  C'est en contradiction totale avec ce que je prétendais précédemment ?

Ben oui... et alors ?  Y'a qu'les imbéciles pour ne pas changer d'avis... non ?

Il avait raison, l'Albert !  Tout est relatif... même l'état d'esprit du moment ! 

 

Allez, zou !  à ciao, ciao !  

 

 

 

 

 

 

 

 

Et il avait bien raison, l'Albert !... tout est relatif. 

Nous avons souvent tendance à nous arrêter sur des détails, à nous indigner de situations ou de mots qui, dès qu'on prend un peu de hauteur retrouvent leur exacte importance, c'est à dire... sont tout à fait négligeables ! 

C'était ma minute philosophique !... elle aussi sans importance !

Allez, zou !  à ciao, ciao ! 

 

 

 

 

Faut pas croire tout ce qui se dit à la télévision ! 

Allez, zou !  à ciao, ciao !