Il est vraiment interpellant le regard de cet enfant de Luang Pra Bang (Laos), photographié par Piero Dang.
Ces derniers temps, j'avais volontairement délaissé le portrait mais je constate que je fonctionne toujours au quart de tour lorsqu'un regard m'interpelle :

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Aquarelle et pastel sec dans mon carnet Canson.

Juste une petite correction sur le côté du menton (à droite sur la photo) et je n'y touche plus.

à ciao, ciao !

C'est une chose que les politiques pratiquent souvent bien malgré eux. Moi, la politique, c'est pas que je n'aime pas... JE DETESTE !

Pourtant, j'ai remarqué que ces derniers temps, dans mes délires picturaux, je me suis livré plus d'une fois à une alternance involontaire.  Une aquarelle plus ou moins traditionnelle étant suivie d'un crobard plus ou moins immonde, lui-même suivi d'une aquarelle... comme l'ombre précède la lumière... ou l'inverse ?
Le Yin et le Yang du marginal en quelque sorte.

Tout ça pour vous dire quoi au juste ?  Ah oui... aucun rapport.
je voulais juste vous parler de Nicolas Doucedame !
Je regardais le travail de cet artiste lorsque ma main, qui n'en fait qu'à sa tête, empoignant des marqueurs se mit à singer le dessin que j'avais sous les yeux... hélas, au-dessus d'un autre crobard abandonné quelques jours plus tôt.
J'ai donc retravaillé l'ensemble avec un chouïa à l'aquarelle avant de vous le montrer :

image cliquable (vous connaissez)

Houlà !  Si elle s'en mêle, j'me sauve !

à ciao, ciao !

Ou mine de quelque chose mais en tout cas, probablement abandonnée depuis pas mal d'années.

Avant tout, je dois vous préciser que je ne suis pas un fanatique de l'hyperréalisme en peinture, chose qui est souvent l'apanage des peintres américains mais là...
Quand il y a des vieilles planches, assemblées en portes ou non... je fais parfois une exception.
Faut bien confirmer la règle, comme on dit.

image cliquable

Au départ, la photo d'une entrée de mine quelque part en Amérique, l'auteur de la photo ne précisant pas l'endroit.
Quelques traits de crayons pour situer les éléments principaux puis...

Il ne me restera plus qu'à y apposer ma signature lorsque ce sera sec.

Carnet Canson  +/- A4

Je vous laisse creuser le paradoxe qui m'assaille.

à ciao, ciao !

Être dans une impasse, ce doit être un jour ou l'autre le lot de tous qui veut créer quelque chose... cela devient un réel problème lorsque vous vous y retrouvez régulièrement.
C'est souvent mon cas. Ce n'est pourtant pas l'envie de créer qui fait défaut.

Alors, marqueur, pinceau à réserve d'eau et petite boîte d'aquarelles, puis direction mon sous-mains.
Je ne dois pas courir loin, tout est là sur mon bureau.

image cliquable

j'ai d'abord mis quelques tons sur la feuille sans trop savoir ce qui allait suivre et puis...
C'est comme un montage en Légo, un bloc sur un autre... une brique ajourée puis un élément de toiture... vous avez le résultat sous les yeux.

l'impasse est bien là, à droite, non colorée comme le trou noir qui a pris la place de mon imagination.

Allez, on avance, on avance !

à ciao, ciao !

Ne me demandez ni le nom du canal, ni celui des ponts, c'est une photo tirée d'un blog de voyages et trouvée sur google.
Le blog ne donne hélas pas de référence quant au canal ou aux ponts.

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D'habitude, on photographie des ponts aux arches complètes ce qui fait donc que celle-ci m'a particulièrement interpellée.

Autrement, rien de spécial à en dire, une aquarelle de plus dans mon carnet à crobards format A4.

à ciao, ciao !

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Grec ou non, je l'ignore.
Ce que je sais, c'est qu'il est né d'un ressuyage de pinceau (gris de Payne) sur une chute de feuille de papier pour imprimante :

10,0 x 19,0 cm

trois-quatre traits de marqueur et voilà les immondes taches qui se sont métamorphosées en un mignon petit berger.
Comme quoi, avec deux fois rien et un brin d'imagination...

Allez, zou !

à ciao, ciao !

C'est en pensant à certains hôtels de ville des Flandres que j'avais crobardé cette aquarelle sur une double page de mon carnet Canson (+/-A4).
Puis je me suis dit : " ça ne ressemblerait pas à celui de Damme, par hasard ?"
Hé ben... PAS DU TOUT !

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Mais alors pas du tout du tout !  Complètement à côté de la plaque, le pseudo artiste.
Comme quoi, le souvenir, faut parfois s'en méfier.

Allez, tant pis.

à cioo, ciao !

Vous aurez bien des difficultés à reconnaître cet endroit vu qu'il n'existe pas.

Je regardais une huile d'Albert Alis lorsque l'envie de crobarder m'a pris, alors j'ai repris son thème en le modifiant énormément.

15,5 x 21,5 cm
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Ce n'est pas tout à fait nul part vu qu'il y a un pont, ce qui suppose de l'eau passant dessous.
Vérifications faites, il a intitulé sa toile de 60x73cm : " Paris "...
Why not ? Je respecte sa vision des choses.

Bon, fête d'anniversaire d'un petit fils cette après-midi !

à ciao, ciao !

Je fais ce que j'aime, ça ne veut pas dire que j'aime ce que je fais.

Hé oui, dimanche la météo avait programmé un franc soleil dès le matin mais un bug informatique dans le Big Brother Céleste en a décidé autrement.

J'en ai donc profité pour tester un programme de traitement d'image encore jamais essayé :

vous avez probablement reconnu un mix des deux crobards figurant sur mon sous-mains qui lui n'a pas changé d'un iota...

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Heureusement pour moi, et surtout pour vous, le soleil est réapparu début d'après-midi ce qui m'a permis d'aller faire quelques photos dans la campagne.
Voici en vrac :

la campagne

Mon copain Polly (surtout quand j'ai des carottes, mais là j'en avais pas !)

le système D fermier

une ferme qui sent encore la ferme, avec son fumier, sa gadoue qui faisait la joie des enfants d'autrefois.

Cliquez pour agrandir les photos.

Allez, assez déconné,

à ciao, ciao !

Je fais ce que j'aime, ça ne veut pas dire que j'aime ce que je fais.

Si j'étais une auto, je serais...

un peu poussive, un chouïa polluante mais j'espère sympathique.

Pas comme ces voitures modernes...

agressives, tout autant polluantes et qui foncent en klaxonnant : " pousse-toi d'là que j'passe, hé... " mieux vaut ne pas poursuivre.

images cliquables.

Trente secondes de délire pour chaque bagnole, et une minute de manip sur l'ordi avant de publier mais c'est mon sous-mains qui est content... il croyait que je l'avais oublié.

à ciao, ciao !