Mais avant de vous le montrer, le plan sommaire de Lacoste, annoncé dans l'article précédent :

Le passage sous le beffroi se situe juste avant la montée vers le château, quand on y va pédestrement et non pas en carrosse moderne par la D106.

 Donc, la double page du carnet se présente ainsi :

 

image cliquable.

 

Et ce portail sans nom ?... me direz-vous.

Le voici donc :

 

il se situe dans la rue Basse juste après l'Espace Pierre Cardin... pour ceux qui connaissent l'endroit.

Dans le fond de l'image, après la première arcade.

J'ai envoyé un ch'tit mail au comité des fêtes du coin, une espèce de bouteille à la mer... on verra bien !

En attendant, je jardine et je continue ma ballade dans Lacoste.

à ciao, ciao !

Dans l'article précédent, je vous montrais le passage en venant du château.

Aujourd'hui, c'est en venant du bas du village...

 

 

pour les besoin de ce crobard, le soleil a effectué un léger arc de cercle.

Remarquez, c'est ce qu'il fait à longueur de journée.

Les deux vues donc, face à face dans le carnet :

 

image cliquable

je pourrais peut-être vous situer l'endroit sur un plan du village ?

On verra !

en attendant,

à ciao, ciao !

Ceux qui suivent mon périple en Lubéron ne seront pas surpris par ce titre.

J'ai donc mis mon dessin en couleur mais avant de vous le montrer, je vous place la photo de départ :

 

 

Le soleil n'est pas encore très présent en cette fin de matinée du 1e mai.

Il m'a donc fallu le suggéré même si ce n'est pas sa position habituelle :

 

 

Lacoste, Campanile et passage sous le beffroi vu depuis la montée vers le château.

Voilà !  Il ne me reste plus qu'à rechercher les photos qui vont compléter la page attenant du carnet.

à ciao, ciao !

Je ne sais pas ce qui m'est passé par la tête car d'habitude je fais très peu de dessin avant de poser mes tons, et là...

 

Grosse frayeur !

Ne pas se laisser enfermer par le trait.

Surtout ne pas remplir les cases, comme on dit généralement au débutant en aquarelle.

En plus, avec ce papier trop fin et qui absorbe mieux qu'une éponge, c'est pas gagné.

Bon, ben... yapluska, yapluska !

En attendant,

à ciao, ciao !

En effet, que ce soit à la porte des chèvres ( article précédent) ou à l'entrée du château, côté ruines, l'eau qui s'accumule forme presque des douves naturelles... pas assez profondes toutefois pour décourager les envahisseurs modernes que nous sommes.

Allez, images :

 

l'ensemble des deux pages donne donc :

 

image cliquable

 

Continuons à lacoste, voulez-vous ?

à ciao, ciao !

 

Lacoste, le Portail des chèvres... faut le deviner sous la verdure :

 

Heureusement, il y a internet et le site de la commune pour s'en assurer.

En fait, il aurait dû s'appeler : " le Portail de la canardière ", vu l'eau qui stagnait sous cette porte de la ville.

 

 

image cliquable

Faut dire aussi qu'il avait bien plu les jours précédents.

Bon... je continue tout doucement.

à ciao, ciao ! 

... ou chez Pierre Cardin, à l'heure actuelle on ne sait plus très bien.

J'avais noté : " matin du mercredi 1 mai, pluie soutenue, direction Lacoste. La pluie cesse mais le temps reste couvert. Après-midi, grand soleil... enfin ! "

J'ai donc pour la première fois depuis cinq jours, des photos avec et sans soleil pour un même endroit.

Première page donc sur Lacoste, d'autres devraient suivre :

 

 

J'ai imprimé et collé la photo de l'oeuvre de YASUO MIZUI, oeuvre que j'apprécie assez, au point de ne pas vouloir la dénaturer en la crobardant.

En réalisant cet article je m'aperçois que la brave patronne du café-restaurant de Sade n'avait pas mis l'heure d'été à sa caisse enregistreuse... il était plus de 12h01 lorsque j'ai reçu l'addition.

Petite vue sur les pages du carnet :

 

image cliquable

 

Allez, zou ! On continuera le sujet plus tard, en attendant :

vous avez bien l'bonjour de Donatien, Alphonse, François !

à ciao, ciao ! 

Ne comptez pas sur moi pour vous donner l'historique de cette abbaye.

Primo, j'en serais bien incapable, et secundo : d'autres l'ont déjà fait bien mieux que je ne pourrais le faire.

Je n'étais d'ailleurs pas très chaud pour en faire un croquis car j'avais plein la tête des photos (probablement fortement retouchées) de bâtiment éclatants, perdus dans un océan de lavande en fleur et écrasé de soleil.

Pour moi, point de soleil mais un temps gris qui ne veut pas se dégager, une lavande minuscule et vierge de toutes fleurs car trop tôt en saison.

Et les bâtiments... n'en parlons pas ! 

Ou plutôt si ! Gris, tristes, comme le ciel.

Il m'a donc fallu jouer d'imagination pour vous pondre ces deux crobards.

Ce seront les seuls sur le sujet :

 

 

Allez zou !...

à ciao, ciao !

... le château de Ménerbes :

 

et puis, au hasard de notre promenade, ce portique :

 

L'ensemble dans le carnet donne :

 

image cliquable

 

J'ai encore quelques photos de Ménerbes, ce sera pour plus tard.

Peut-être !

Allez, zou...

à ciao, ciao !

 

Aussi facétieux que ce diablotin, le soleil nous accueille chichement pour ce petit retour en arrière.

Ménerbes, c'était lundi 29 avril, juste après la visite d'Avignon. L'astre du jour préférant le mistral et le Rhône à la visite de villages perchés faisait furieusement défaut.

J'avais déjà fait un crobard sur Ménerbes, tiré d'une photo d'un livre de ma bibliothèque.

C'était en octobre 2012 :

Cette fois, je m'y suis rendu, je vais donc pouvoir crobarder d'après mes propres photos.

Tant qu'à montrer la tour du campanile, voici la représentation actuelle :

 

 

Bon, continuons la recherche des photos qui me donnent envie de dessiner.

Bon week-end à tous et...

...à ciao, ciao !