Second volet de ce triptyque introduit par l'article précédent.

Aujourd'hui un sous-bois dans lequel j'ai laissé éclater mon délire.

Voyez plutôt :

 

Automnales II

Pastel sec sur papier ( 21,0 x 10,5 cm)

clic sur image...

le prochain sera peut-être dans une technique proche... qui sait ?

En attendant...

à ciao, ciao !  

Dernièrement, j'avais reçu une carte postale de Provence où deux de mes amies passaient des vacances et comme, pour l'instant, je suis occupé avec mes pastel pour essayer de concrétiser un projet qui me tient à coeur... j'en ai profité pour faire ce petit crobard :

Pastel sec  +/- 18,0 x 18,0 cm

sur feuille de 34,0 x 24,0 cm

D'après une photo de Nicolas Fournier

je me répète mais il est pourtant vrai que les bâtons de pastel sont tellement gros par rapport à la taille de ce petit crobard réalisé au dos d'une feuille du calendrier déjà cité précédemment.

D'accord, ce n'est pas une aquarelle comme l'indique l'intitulé de cette communauté mais je ne veux pas trop me disperser dans ces dernières.

à ciao, ciao !

... d'après une photo publiée par " Petitalan " que j'ai éclaircie quelque peu car un couché de soleil c'est magnifique en photo mais au pastel... c'est un peu sombre :

taille du pastel : 23,0 x 13,0 cm

ciel un peu moins tourmenté mais le pastel est petit et les bâtons si gros...

Toujours réalisé sur le carton du sous-mains :

juste en dessous de la Marine inspirée de mon amis Théo De Mol (voir article précédent).

Tout ça après une grosse journée de jardinage !  Dur dur, la vie d'artiste !

Allez, zou ! à ciao, ciao !  

Et oui, même chez les insectes...

 

mais là aussi, il y a des privilégiés...

 

juste pour le plaisir :

 

 

Allez, zou !  à ciao, ciao ! 

Coucou, me revoilou... du moins provisoirement.

Je fais un effort pour répondre à quelques amis qui se tracassaient ( si si, j'en ai ! Pas des masses mais quand même !)

Vous vous souvenez peut-être que je vous avais envoyé une carte virtuelle des falaises d'Ault puis, quelques jours plus tard, quelques photos des autres falaises de l'endroit.

C'était la semaine 21, quatre journées dans la Somme en chambre d'hôtes.

Allez, je vous file un clipboard des lieux visités :

 

 

Et puis, la semaine suivante, petit séjour forcé de quatre autres jours dans un hôtel de Tournai, le CHwapi, pour ne pas le citer.

Le personnel est aux petits soins pour les résidents, imaginez :

- prise de température, prise de sang, tension artérielle, perfusion... et j'en passe !  Les GO de l'endroit ne savent que faire pour vous être agréable.

Et puis souvent, ils vous emmènent à travers couloirs et ascenseurs vers d'autre GO qui vous passent dans des machines aux noms pas possible.

D'autres s'occupent de votre peau en vous badigeonnant d'une espèce de gel dont vous n'arrivez plus à vous défaire.

J'imaginais vraiment pas la balnéo des hôtels comme ça !

J'abrège, j'abrège !

La chambre à Saint-Véléry sur Somme, c'était ça :

et puis la vue avant d'aller me coucher, plutôt de ce style :

Tandis qu'à l'hôtel ( javais oublié mon appareil photo) la chambre c'était plutôt ça :

et oui, vous avez droit à mon tout premier croquis fait sur site mais je ne disposait que d'une vieille enveloppe jaunâtre et d'un bic à bout de souffle.

Désolé.

Bon... oublions !  Mais comme il me reste un boulot fou au jardin, si le temps me le permet et dès que mes forces seront revenues, je reviendrai vous faire un coucou plus marrant.

En attendant, je vais encore m'absenter un peu.

Z'inquiétez pas !

à ciao, ciao !

 

 

 

 

Lundi, juste avant de prendre la route, je vous postais une petite carte postale virtuelle des falaises d'Ault.

C'était de la triche (comme dit mon petit-fils) car réalisée la veille, cette aquarelle avait été bricolée d'après une photo trouvée sur le net en regardant les endroits à visiter.

Alors, pour me faire pardonner et comme je n'ai pas beaucoup de temps pour peindre, aujourd'hui je vous poste des photos de l'endroit :

 

 

 

Les falaises à la sortie de Ault :

 

mercredi 23 au matin, la brume s'était invitée.

 

Les falaises à Mers-les-Bains :

 

c-a-d quelques km plus loin et guère plus de 30 minutes plus tard, le soleil à gagné la partie et ne va plus nous quitter de la journée.

 

Les falaises du Tréport :

mais là, c'est l'après-midi et on est déjà en Normandie ! 

 

Bon.  Je ne sais pas chez vous mais ici le jardin est en pleine exubérance et il va falloir que je me retrousse les manches... à moins de mettre des chemises à manches courtes !

Alors, à ciao, ciao ! 

ps : OB m'ayant obligé à poireauter pour obtenir mes photos, j'ai déjà débroussaillé une partie du jardin puis... j'ai mis une chemise à manche courte ! ;o)

Vendredi dernier, temps mi-figue, mi-raisin mais qui me permet quand même de me promener à vélo et du coup, je m'en vais faire un tour un peu plus grand que d'habitude.

C'est là que j'ai constaté les méfaits de l'hiver et plus particulièrement de la neige tombée en début du mois de mars... enfin, je suppose.

je vous montre la ferme dans le style : avant - après

cliquez sur l'image pour agrandir

et dire que j'en avais fait une petite aquarelle juste avant sur la première photo prise fin août de l'an dernier :

voilà pourquoi je photographie et peins ces vieilles fermes de la région car lorsqu'elles ne sont pas transformées... elle s'écroulent !

Allez, zou ! 

à ciao, ciao ! 

+/- 17,0 x 14,0 cm

Tiens ? Me serais-je trompé de titre ? Les vieilles fermes feraient-elles leur grand retour ?

Ben... oui et non.

Comme je ne suis pas Normand, j'explique.

Les vieilles fermes, c'étaient des crobarts réalisés dans le cahier ligné et là, même pas eu le courage de me retourner pour le prendre, j'ai fait ça sur ce que j'avais sous la main.

C'est à dire :

 

sur la feuille de récupération déjà présentée dans l'article précédent, c'est vous dire si ça devient vraiment du " grand n'importe quoi" (dixit mon épouse !)

au dos de cette feuille, il y a ça :

 

J'ai caché certains noms et flouté le tout, bien entendu (secret défense comme dirait l'autre ! )

Le chef d'oeuvre se soucie peu du support !

 

Ne cherchez pas trop loin, ce doit être l'effet des antibiotiques qui s'attaquent à mon neurone, le prenant pour un corps étranger qu'il faut éliminer !... pourtant c'est pas écrit dans les effets secondaires. Faudra que j'le signale au fabricant, lorsque j'aurais retrouvé un peu de punch.

Allez, vous tracassez pas. L'autodérision fait partie du kit de survie de tout bon Belge qui se respecte.

J'en ai vu d'autres.

Je survivrais !

Après-midi, raccourcir la lavande... vais m'reposer un peu, avant !

à ciao, ciao ! 

Dos d'une feuille de récup, format A4

Je vous avais promis quelques explications... je vais essayer.

Vous pensez certainement que ce sont effectivement des délires sans queue ni tête et pourtant...

Pourtant chaque geste graphique correspond à un instant de réflexion, à une pensée bien particulière mais souvent furtive et j'avoue qu'il y a un gros problème !...

Un très gros problème !

Pour vous d'abord qui tentez de décrypter... et puis pour moi qui devrais pouvoir vous expliquer ce qui ressemble bien plus à une aberration qu'à un acte reflétant une certaine logique.

PARFOIS, JE MELANGE PLUSIEURS IDEES DANS UN MÊME GRAPHISME !

 

C'est sans compter sur le hasard me fait de l'oeil comme dans ce cygne noir s'enfuyant qui n'est rien de plus qu'un essai de pastel gras estompé par mon doigt. Quatre traits de porte-mine plus tard, et la tache devient graphique

Ben oui !

C'est ce que j'appelle : " mon illogisme logique ", et ça, ça ne s'explique pas.

Du coup, j'explique rien... à vous de vous faire votre trip sur ce qui semble être un délire.

à ciao, ciao ! 

L'autre soir, cris métalliques et sonores devant chez moi, très reconnaissables lorsqu'on en a l'habitude... " y'a un faisan sur l'entrée de garage ", me dis-je.

Que nenni. Ni sur l'entrée de garage, ni dans le jardin où ces bestioles élevées pour le plaisir (?) des chasseurs viennent souvent réclamer leur pitance.

Je rentre et... encore le cri !

Il est bien là pourtant mais pas où je regardais :

 

dans le tilleul à plus de 50 mètres, au bout du jardin du voisin d'en face.

Je zoom au maximum mais il me faudra encore éclaircir la photo pour m'assurer que je n'ai pas la berlue.

J'ai bien plus l'habitude de voir de ramiers ou même un épervier à cet endroit mais après tout, c'est un oiseau comme un autre... pourquoi n'en aurait-il pas le droit ?

Allez, je vous laisse !

à ciao, ciao !