Ah, on a le temps de les admirer, ces remparts, à chaque fois que l'on s'arrête pour remprendre haleine dans cette grimpette qu'est l'ancien chemin de Lourmarin.

 

 

et puis, juste après, une explosion de couleur... un arbre de judée en pleine floraison.

Comme personnellement je n'ai pas trop de motivation pour peindre des fleurs, je vous montre la photo :

 

Bon, j'ai repris mon souffle, je continue.

Allez, zou... bon dimanche !

à ciao, ciao !

 

J'ai remarqué que dans le coin, les panneaux indicateurs avaient la facheuse tendance à ne pas indiquer le kilométrage... remarquez dans ce pays vallonné, est-ce vraiment nécessaire ?

Vu de Lacoste, Bonnieux c'est là :

4 à 5 km à vol d'oiseaux... beaucoup plus par la route.

De près, c'est plutôt ça :

... un village de carte postale. Un rêve de désordonné. Un cauchemar pour architecte moderne... et également pour moi qui n'aime pas trop crobardé l'architecture quelle qu'elle soit.

Soyez donc indulgents :

 

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Remarquez le croissant de lune sur la flèche du campanile.

ça grimpe encore et toujours, d'autant plus sec que souvent on laisse son automobile dans le bas, à l'entrée du village.

Et quand on est en haut, on peut voir...

Lacoste !

Juste retour des choses.

Bon, je regarde mes photos et puis je continue.

à ciao, ciao ! 

Il y a encore mille et un détails possibles à crobarder sur Lacoste mais il faut bien se fixer des limites.

Vue vers le village hors des murs, vers la place de l'église... ou de la poste, c'est selon les cartographes et leur degré de religiosité.

 

Pas trop content du résultat et de plus, dans l'ensemble des pages, elle gâche un peu le dessin précédent.

Voyez plutôt :

 

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Bon ben, tant pis !

Je crois que je vais maintenant aller faire un petit tour à Bonnieux.

Allez, zou...

à ciao, ciao !

Certainement l'une des curiosités les plus photographiées de Lacoste avec cette vue depuis la montée du village.

 

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D'après les indications du cliché, nous sommes le 1/05/2013 et il est 13h49'29"... le soleil vient enfin de faire son apparition !

Nous sommes au sixième jours de nos vacances et la pluie vient de cesser depuis 30 minutes.

Allez, haut les coeurs !

à ciao, ciao !

Ben oui, avant de continuer et finir la visite de Lacoste, petite parenthèse sur Lourmarin...

Je disgresse⁽¹⁾ picturalement, me direz-vous !  Je m'éparpille... je me disperse... D'accord !  C'est l'effet " sous-mains ".

Si j'ai le malheur d'y crobarder quelque chose, je ne sais plus m'arrêter.

Pour certains, ce sont les cacahuettes grillées-salées, moi c'est le sous-mains.

Chacun son vice !

Bon Lourmarin... (me restera plus qu'à découper et coller à la bonne page de mon carnet et puis basta !)

+/- 12,0 x 19,0 cm

C'est en effet l'un des rares beffroi de la région à ne pas être surmonté d'un campanile en fer forgé.

Pour en connaître la raison, allez donc visiter le site de Lourmarin si le coeur vous en dit.

Tiens ? Il était 16h50 lorsque j'ai fait la photo ?  Ah bon.

Allez, zou !

à ciao, ciao !

 

(1) je ne sais pas pourquoi mais moi je prefère "disgresser" à "digresser" même si mon copain le Robert ne veut pas en entendre parler ! 

Si nous n'étions en désaccord que sur ce terme...

Je ne vais pas encore vous faire tout un laïus sur cette manie du sous-mains, ceux qui suivent comprendrons, les autres n'auront qu'à regarder l'article précédent.

Lacoste, rue de la Frescado ou la montée vers le château :

Bon, j'espère retourner crobarder dans mon carnet maintenant !

Allez, zou !

à ciao, ciao ! 

Pas beaucoup de temps devant moi ces derniers jours pour réaliser quelque chose de plus ou moins correct.

Aussi, en attendant de passer à table j'avais griffonné ce que je visionnais sur l'écran... quatre à cinq minutes pour chaque crobard, ce qu'il m'aurait été possible de faire sur place !

Mais pourquoi diable le fais-je sur mon sous-mains et non pas dans mes carnets ? Allez savoir ! D'ailleurs, vous ne serez pas seuls à n'en rien comprendre, mon épouse se tapote régulièrement la tempe en passant dans mon bureau.

Bon, assez de blabla, le temps me manque !

 

l'Ancienne boulangerie

+/- 8,0 x 11,0 cm (chaque carreau fait 5 mm, vérifiez si le coeur vous dit.)

 

Paysage avec pesonnages en contre-jour :

 

Les photos qui défilaient n'étaient pas de moi mais du site de l'office du tourisme de Lacoste :  Lacoste-84.com

Pour vous donner une idée de l'ensemble :

Allez, j'me sauve !

à ciao, ciao !

Cette fois, c'est dans la rue Basse que ça se passe. En temps ordinaire je n'aurais probablement pas tourné la tête pour regarder l'endroit mais ce mercredi premier mai et pour la première fois de notre séjour, le soleil a dardé ses rayons sur le lieu juste au moment où je passais.

La lumière, la verdure ont fait le reste.

Là aussi, le moderne jouxte l'ancien.

Voilà qui rempli la page du carnet.

 

Et puis, la double page donne :

 

image cliquable.

 

Je n'ai toujours pas le nom de cette ancienne porte ou portail dans la rue Basse... peut-être n'en a-t-elle pas d'ailleurs ?

aallez, zou !

à ciao, ciao ! .

Lorsque je l'ai vue, j'ai dégainé ma boîte à image, clic-clac... je savais qu'elle allait me servir.

Si l'encadrement et probablement la maison datent de 1634, la porte doit être bien plus récente :

un conseil : si votre colonne vertébrale est en aussi mauvais état que la mienne, attendez qu'un enfant passe pour manoeuvrer la clenche et vous ouvrir la porte !

C'est un coup à vous réveiller une sciatique qui sommeille, ça !

Allez, zou... j'ai du boulot !

à ciao, ciao !

Mais avant de vous le montrer, le plan sommaire de Lacoste, annoncé dans l'article précédent :

Le passage sous le beffroi se situe juste avant la montée vers le château, quand on y va pédestrement et non pas en carrosse moderne par la D106.

 Donc, la double page du carnet se présente ainsi :

 

image cliquable.

 

Et ce portail sans nom ?... me direz-vous.

Le voici donc :

 

il se situe dans la rue Basse juste après l'Espace Pierre Cardin... pour ceux qui connaissent l'endroit.

Dans le fond de l'image, après la première arcade.

J'ai envoyé un ch'tit mail au comité des fêtes du coin, une espèce de bouteille à la mer... on verra bien !

En attendant, je jardine et je continue ma ballade dans Lacoste.

à ciao, ciao !