-
C'est en pensant à cette chanson peu connue de Brel
...
Mon Père disait
C'est le vent du Nord
Qui fait tourner la terre
Autour de Bruges
Autour de Bruges petit
C'est le vent du Nord
Qui a raboté la terre
Autour de Bruges
Des tours de Bruges
...
Moi, je n'en ai pas fait le tour même si je me suis promené plusieurs fois dans cette belle ville.
Tout cela pour introduire le crobard réalisé dans mon carnet A6, autre essai avec le pinceau réservoir mais en n'utilisant que des crayons aquarellables puis rehaussé après séchage de marqueur noir et de crayons cire.
clic = un peu plus grand
D'après une photo prise lors d'une visite en 2002.
Tenez, comme cadeau de fin d'année, et pour ceux qui ne connaîtraient pas cette ville, voici un petit patchwork de quelques photos prises ce soir-là :
Là, il vous faut cliquer sur l'image pour voir en beaucoup plus grand !
...
C'est le vent du Nord
Qui transperce les yeux
Des hommes du Nord
Jeunes ou vieux
Pour faire chanter
Ces carillons de bleu
Venu du Nord
Au fond de leurs yeux
...
Sacré Jacques !.. ta voix me manque !
Allez, bonne fin d'année à tous !
Passez de bons réveillons et, pour ceux qui sortent, soyez prudents !
Je n'ai pas trop de lecteurs... j'y tiens !
à ciao, ciao !
6 commentaires -
Le père Noël m'a apporté mon cadeau au pied du sapin... il a fallu que je l'essaie illico-presto, mais tout d'abord... le voici :
Pinceau à réservoir pour mes carnets de voyages en espérant un jour m'en servir sur site... c'est fait pour ça !
J'ai donc inauguré ce pinceau dans mon carnet format A6 en cherchant parmi mes photos de vacances, celle qui allait me parler.
Ce fut l'abbaye de Fontenay que je n'ai jamais visitée mais dont j'avais réalisé deux photos en 2002 depuis le porche d'entrée.
Aquarelle, crayons aquarellables, crayons cire et marqueur noir.
clic sur image = un peu plus grand
Voilà qui devrait terminer cette année 2012...
ah oui, la photo de base ?
La voici, la voilà. Le crobard n'étant qu'un détail au centre de celle-ci.
Allez, bons réveillons de fin d'année et à 2013... si tout va bien !
à ciao, ciao !
12 commentaires -
Maya l'Abeille m'ayant outrageusement abusé en se gourant lamentablement dans son calendrier...
... je m'étais donc abstenu de trouver un sujet pour l'après 21 décembre !
Du coup, je me permets de faire un tout petit clin-d'oeil au très très célèbre " GOUZOU " de Jace...
mais pour ceux qui ne connaîtraient vraiment pas, activez ce
... en photographiant ce que j'avais griffonné sur un coin de mon tout nouveau sous-main.
Allez, Gouzou-Gouzou à tous les sapinous ( ou sapinoux, selon le sexe) pour Noël !
à ciao, ciao !
2 commentaires -
Car elle risque d'être longue cette route puisque Maya l'Abeille a annoncé qu'on allait vers la fin du monde aujourd'hui !
Vu que la terre est ronde... elle est où la fin du monde ?
Hein ?
Je vous l'demande !
Et puis... à quelle heure, le grand départ ? Ah ! ça, elle l'a pas dit non plus, la distraite !
Tu parles d'une organisatrice de voyage, c't'Abeille !
Bon, ben... tant qu'à voyager, moi je préfère retourner à Venise :
Aquarelle, crayons cire et marqueur noir
feuille 17,5 x 27,0 cm +/- 90g/m²
C'est juste un détail d'une photo prise à l'époque sur un campo dans Santa Croce... à moins que ce fut à San Polo, la limite des quartiers est tellement floue...
Allez ! à la revoyure... peut-être... si Maya l'Abeille s'est trompée !
à ciao, ciao !
8 commentaires -
En feuilletant l'album photos de Venise 2005, je suis tombé en arrêt devant celles-ci prises à la pescheria.
Tout d'abord,
Le style anglais :
Imperturbable, appliqué et complètement indifférent aux regards des passants, ainsi d'ailleurs qu'à celui du poisson qui le regardait du haut de sa colonne.
Loin de moi l'idée de me moquer !
Peindre sur le motif est toujours ce que j'aurais voulu faire mais je déteste ceux qui, comme moi, photographient dans votre dos ou s'attroupent pour commenter dans une langue inconnue... allez donc savoir ce qu'ils disent !
Bref, moi je photographie puis je me planque lâchement dans mon bureau-atelier, où personne ne m'enquiquine, pour réaliser mes soi-disant carnets.
Mais je m'égare, je m'égare... revenons à Venise.
Ce jour-là, juste en me retournant, il y avait aussi...
Le style hypermétrope :
Tout aussi indifférent, tout aussi concentré sur son sujet mais, contrairement aux statiques scotchés à leurs pliants toilés, lui se reculait régulièrement pour avoir une vue plus globale de l'ensemble sujet-peinture.
Du coup, les malheureux poissons ne savaient plus où donner de la tête !
Bon ! Les photos c'est bien mais c'est un peu facile... non ?
Faudrait peut-être que je me remette aux crobards ?
Allez, à plus...
à ciao, ciao !
2 commentaires -
Samedi s'était levé sous le soleil mais, dès midi, les nuages se sont accumulés au-dessus de nos têtes. Adieux, veaux, vaches et rêves de beau temps, il ne restait que les photos d'anciennes vacances pour nous conter le soleil et ses bienfaits.
Et cet après-midi là, ce fut Venise... 2005 !... sept ans déjà que nous recherchions fébrilement l'ombres de ses ruelles pour nous protéger des rayons d'un astre qui ne doit pas être le même qu'ici.
L'homme n'est jamais content de son sort, c'est bien connu.
Parmi ces ruelles, il en est une que j'avais déjà représentée à l'époque en y mettant toute mon application d'aquarelliste débutant.
C'était l'époque où j'avais encore toutes mes illusions et de beaux principes bien rigides inculqués par la lecture assidue d'articles concernant certains grands noms de cette discipline exigeante.
Aujourd'hui, les beaux principes se sont barrés en tenant mes dernières illusions par la main.
Paresseux je suis.
Paresseux je resterai puisque tel est mon karma !
Bon, trève de philosophie à deux balles, samedi ce fut ça :
Aquarelle, crayons cire et marqueur noir
17,5 x 26,5 cm (papier +/- 90g/m²)
Ruelle de Venise avec sotoportego donnant sur un canal.
Un dessin aussi compulsif qu'approximatif, réalisé sur une mise en couleur minimaliste... mais tout ça en écoutant la sixième de Beethoven.
Le soleil n'avait qu'à aller se faire foutre !... j'étais bien.
Je vais quand même vous montrer la photo réalisée sur place :
Allez, zou ! Bonne semaine à tous.
à ciao, ciao !
.
2 commentaires -
... sous la pluie.
Ici aussi, il pleut.
No Comment !...
... ce qui ne signifie nullement que vous ne pouvez pas vous exprimer, bien sûr.
Réalisé à la pointe bic sur taches d'aquarelle, au dos d'une feuille d'imprimante ayant déjà servi... d'ailleurs ça se voit par transparence.
Trente secondes à oublier le temps qu'il fait dehors, c'est déjà ça de pris.
à ciao, ciao !
4 commentaires -
... et, entre les deux, le chemin le plus court est l'imagination.
Alors je reprends l'image de base :
Grâce à la tablette graphique et au travail par calques, je vous dessine les contours de ma vision :
Puis je supprime le calque de base :
le voici donc, le malheureux qui flotte dans l'espace !
Ah zut alors ! J'ai dessiné un trait sur le calque inférieur que j'ai supprimé... hé bè, tant pis !
Je suppose qu'il est très différent de celui que vous aviez imaginé mais quelle importance ? Le tout est que chacun ait titillé son imagination l'espace d'un instant !
Allez, je vous laisse ! Après-midi très récréative avec un de mes petits-fils, le blog attendra !
à ciao, ciao !
ps. réalisé mercredi matin et programmé pour le lendemain... l'espace temps... mais tout ça vous connaissez, bien sûr !
2 commentaires -
C'est immédiatement ce que m'a fait penser cette tache :
Remarquez, c'est aussi le sentiment qui m'étreint parfois devant le peu de réaction qui ponctuent (ou pas) les articles que je poste.
Mais, ayant toujours considéré qu'un bloc était comme une bouteille à la mer, je m'en suis fait une raison depuis longtemps.
Pour en revenir à cette tache, il s'agit en fait du traficotage informatique de ceci :
je vous présente ma palette, un bout de carton blanc recouvert d'un film transparent autocollant de 14,0 x 17,0 cm, dont je me sers lorsque je travaille avec des crayons aquarellables (comme dans l'article précédent pour ceux qui l'ont lu.)
Si vous ne voyez pas l'âne, j'essaierai de vous le dessiner pour la prochaine fois.
En attendant, à ciao, ciao !
8 commentaires -
D'accord avec vous, on associe plutôt Saint Marc et un lion aîlé, mais moi je ne veux pas vous parler de l'évangéliste mais de la Basilique San-Marco à Venise et plus particulièrement de l'un des deux griffons qui " décorent " la façade côté palais des Doges.
clic sur image = un peu plus grand
crayons aquarellables, crayons cire et marqueur noir.
Si certains trouvent inquiétantes les gargouilles de nos églises, que dire de la barbarie de cet animal mythologique car d'après les proportions du corps, c'est bien un enfant ( ou un ange ) qu'il tient dans ses griffes.
Et pourtant, rares sont les touristes qui le regardent... ils passent, photographient à tout va, se lamentent de la file devant le Palais ou la Basilique, mais les détails intéressants... que nenni.
Allez, zou ! Passez un excellent week-end ! Et pas de panique, les griffons n'existent pas... ou alors ce sont de petits chiens sympathiques avec plein de poils devant les yeux.
à ciao, ciao !
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires